Quelques bonnes raisons de nous opposer à l’avancée de l’islam en France et en Europe

Quelques bonnes raisons de nous opposer à l’avancée de l’islam en France et en Europe

Quelques bonnes raisons, historiques, philologiques (études des textes anciens), politiques, de nous opposer de façon radicale à l’avancée de l’islam en France et en Europe
Je tente le coup : accepter de ne m’adresser ici qu’à Un seul, qu’au seul musulman (je vais l’appeler Ahmed ou Fatima) qui, volontairement ou non, se soit risqué aujourd’hui sur ce forum. Les non-musulmans qui sont ici chez eux ont déjà intellectuellement structuré leur refus de l’islam en Europe et plus précisément en France. Ils savent qu’il ne s’agit pas de leur part de racisme, mais d’un refus raisonné, argumenté, nécessaire, d’une idéologie dont le but est la conquête de l’Occident par une Organisation fondée en 622 (il y a donc 14 siècles), se présentant sous la forme visible d’une religion, simple mais efficace camouflage d’une armée en conquête par tous les moyens.
Notre refus de l’islam en conquête n’est en aucun cas un racisme : il y a des Arabes et des Africains juifs, chrétiens, athées, agnostiques, qui ont leur place parmi nous ; mais le vecteur le plus efficace depuis 14 siècles pour véhiculer l’islam fut et est toujours la population arabe ainsi que les populations arabisées et islamisées, et ce fait ne peut être ignoré ou nié. La stratégie des Frères et Sœurs musulmans ne s’y trompe pas, qui – pour accélérer la conquête – mise essentiellement sur les facilités d’entrée et d’installation d’immigrés en France, arrivées et naissances payées et assistées par les contribuables français eux-mêmes (un comble !) et sur les diverses organisations dites « humanitaires » au service des étrangers, ainsi que sur les faiblesses du système démocratique français prêt à toutes les humiliations et toutes les dépenses pour satisfaire les exigences des conquérants. Les dernières estimations de l’INSEE (« le Figaro » du 31 mars 2023) montrent que la stratégie des Frères et Sœurs musulmans, en œuvre depuis une quarantaine d’années en France, axée sur l’augmentation de la natalité de futurs conquérants bénéficiant du droit du sol et donc de toutes les prestations établies pour les petits Français, est pour eux un succès. Désormais, plus de 52 % des immigrés en France sont des femmes, dévouées à la propagation de l’islam par la démographie, mais, Allah est grand !, aux frais du peuple à conquérir ! Les Français sont masos ou stupides. La transmission de l’appartenance des nouveau-nés à l’islam, la transmission du coran, la circoncision, la transmission du devoir de conquête, des prénoms musulmans, des us et coutumes, participent de la conquête.
Les non-musulmans ont, en plus de ces arguments démographiques étayant leur refus de l’islam en France, de multiples arguments philosophiques, moraux, politiques. L’islam est un projet politique (la conquête du monde) dont la constitution (la sunna et la charia), est divine (écrite dans le Coran, attribué au dieu Allah) : l’islam politique est une théocratie. En opposition totale, frontale, irréductible avec le choix des Français de s’être organisés en société laïque, démocratique, républicaine. L’islam est ainsi incompatible avec les choix et valeurs de notre société.
Qui va gagner des deux options qui s’affrontent ? L’enjeu est là. L’affront musulman est expérimenté (près de 14 siècles d’expérience dans tous les domaines de la lutte offensive et conquérante). En face, l’opposition à l’islam est timide, hésitante, partagée, stupide, idiote et suicidaire : « Ben, c’est une religion comme les autres ! » « Ben, ils sont, comme nous, fils d’Abraham ! », « Ben, le plus important, c’est le Vivre ensemble ! », « Ben, on ne doit pas être racistes », « Ben, on a fait la colonisation, faut payer maintenant ! », « Ben, eux au moins ils croient encore au Paradis, et ils ont des lois morales rigides, contrairement aux Occidentaux ! »….
Et si j’apprenais quelque chose aujourd’hui au seul musulman, Ahmed, ou à la seule musulmane, Fatima, (elle, engagée dans la transmission du Coran à sa progéniture, dans son devoir de djihad, son devoir de conquête de la France) qui lit ce papier, peut-être se déciderait-il à ne plus se contenter de suivre le troupeau mais d’agir en personne libre et opposée à la conquête d’un pays et d’une population qui veulent rester libres, laïques, sous des lois démocratiques et républicaines ?
Sais-tu, Ahmed ou Fatima, que personne ne connaît le nom véritable du prétendu prophète de l’islam ? On connaît juste le surnom qui lui a été donné bien des années après sa mort, « Muhammad », qui signifie en français «Digne de louanges », qui n’apparaît que 4 fois dans le Coran… Etrange, non ?
Sais-tu, Ahmed ou Fatima, que le Coran (le mot arabe « quran » signifie en français « récite !») n’a pas été écrit par ce mystérieux Muhammad dont on ignore le véritable nom, et qui n’a laissé aucune trace écrite (il vivait pourtant au 7 ème siècle de notre ère ! Apparemment il ne savait pas écrire et n’a rien laissé comme trace écrite de son message !) mais que ce texte fondateur a été fixé par écrit près d’un siècle après sa mort qui a pu avoir lieu en 632 (les historiens n’en sont pas certains).
Ce Coran a été écrit vers 750 et jusqu’en 800 par un groupe de Bédouins suffisamment lettrés pour entasser les uns après les autres, au fur et à mesures qu’ils arrivaient, quelques souvenirs de paroles dues à ce mystérieux Muhammad mais surtout les idées de ses successeurs (les ‘’califes’’) à la tête des armées arabes en conquêtes. Car le but principal de ce texte, écrit à l’époque du calife Abd El Malik, fut de tenter de légitimer les batailles offensives, les guerres de conquêtes, les annexions de territoires faites par les armées arabes et celles des populations arabisées et islamisées. Pendant un siècle les Arabes, déchaînés, ne cessèrent de combattre pour se payer en butins, razzias, pillages, viols, annexions et conquêtes. Les études les plus récentes sur l’origine du Coran et l’histoire réelle de son mystérieux fondateur nous apprennent que les conquêtes arabes du ‘’Maghreb’’ (l’Occident, pour les Asiatiques arabes) depuis Jérusalem jusqu’au Maroc d’aujourd’hui étaient en cours lors de l’écriture de certains versets coraniques. Et que certaines batailles des « guerriers de l’islam » contre des tribus juives ont eu lieu en réalité après la mort de Muhammad. Ces versets n’ont matériellement pas pu être écrits du vivant de Muhammad à qui est pourtant attribuée la paternité du Coran (c’est ce que croient la plupart des musulmans).
Pourquoi ces anachronismes ? D’abord à cause de la rapidité des conquêtes arabo-islamiques faites dans l’improvisation la plus totale et qui furent ensuite attribuées à la volonté divine au moment d’en écrire la justification. En moins d’un siècle, une partie des armées arabo-islamiques, ayant conquis Jérusalem dès 637 (5 ans après la mort de Mahomet), franchiront le détroit de Gibraltar en 711 et ne seront arrêtées qu’à Poitiers en 732; pendant que d’autres armées de conquêtes arabo-islamiques de même origine étaient lancées dès ce VII è siècle vers la Perse (Iran), la Mésopotamie (Iraq) en direction de l’Inde, et d’autres encore vers ‘’La Ville’’ (cette appellation suffisait à l’identifier) la plus riche de l’époque, capitale des Byzantins, Constantinople, devenue la proie toute désignée à la fois pour les nomades arabes ainsi que, moins de deux siècles plus tard, pour les nomades turcs vite arabisés et islamisés pour suppléer aux armées arabes. On retrouve aujourd’hui dans les écrits coraniques des allusions nettes à ces victoires militaires arabes clairement postérieures à la mort de Mahomet. Et des justifications alambiquées de ces conquêtes territoriales faites au détriment des juifs (tribus juives anéanties) et des chrétiens (victoires arabes sur les Byzantins). Avec de surprenantes contradictions entre des paroles de plusieurs époques pourtant présentées comme toutes contemporaines du ‘’prophète’’. En dénouant méthodiquement l’écheveau d’embrouilles composé environ un siècle après les prétendues ‘’révélations’’, les divers récits apparaissent, historiques pour certains (rares) et fantasmés ou présentés comme la ‘’volonté divine’’ pour les autres. Le but étant de justifier, suite aux événements postérieurs, un total changement de nature du message initial du « prophète ».
C’était en réalité le message des prophètes bibliques et des Evangiles que désirait rappeler Mahomet (Muhammad) à ses contemporains. Il n’inventa rien, il se mit juste dans la peau d’un nouveau prophète juif et chrétien qui reprend à son compte les écrits religieux antérieurs. « Le Coran sert avant tout à réunir des fragments de traditions bibliques et arabes plus anciennes par l’intermédiaire de la figure de Muhammad » (Rippin, ‘’Foreword’’ p. XVII) en excluant de son champ les aléas du temps et de l’espace » (Halevi, ‘’Muhammad’s Grave, p. 207) » page 195 de « Histoire du Coran ».

L’écriture tardive du Coran a donc eu comme première intention de faire croire aux populations soumises que les Arabes en conquêtes territoriales étaient en fait en mission, ne faisant qu’obéir à un ordre divin de djihad. Les Arabes, trois siècles plus tard, apprirent la même ruse aux Turcs et leur assurèrent qu’en attaquant Constantinople, la ville la plus riche de l’époque, ils ne faisaient que remplir une mission agréable à Dieu. Voler les chrétiens est agréable aux yeux d’Allah, le vol n’est en réalité qu’un légitime butin de guerre. La leçon ne sera pas oubliée. De nombreux musulmans, aujourd’hui encore, considèrent que voler des chrétiens, en France, est un devoir de base de musulmans en conquête (vols de biens privés, vols d’aides sociales, infractions aux lois républicaines).

Sais-tu, Ahmed ou Fatima, que la région de La Mecque et de Médine, en Arabie, du côté Asie de la mer Rouge, région qu’on appelle « le Hedjaz » (ou Hijaz) était, jusqu’à l’époque supposée de la naissance de Muhammad (vers 575) un ancien royaume juif, le royaume de Himyar ? Tu as bien lu : l’Arabie Saoudite d’aujourd’hui était un royaume juif. Et qu’un roi, du nom de Abraha, converti au christianisme, y régna quelques dizaines d’années avant la naissance du mystérieux Muhammad. Tu as bien lu : l’Arabie Saoudite d’aujourd’hui, où vivait Muhammad, a eu un roi chrétien. La conquête de l’Arabie désertique par les Himyarites (qui se convertirent au judaïsme puis au christianisme) est documentée par au moins six inscriptions récemment découvertes. En 1950, on ne connaissait qu’une seule inscription mentionnant Abraha, roi chrétien d’Arabie au VI è siècle, mais déjà quatre inscriptions en 2000 : c’est ainsi que progresse à vive allure la connaissance historique à notre époque. Le royaume de Himyar fut d’abord dirigé par des rois juifs puis, à compter de 530, par des rois chrétiens. Un de ces rois chrétiens, portant le nom d’Abraha, étant tributaire des rois chrétiens d’Aksum (Abyssinie), régna entre 535 et 565. « Soixante dix ans avant l’islam, l’Arabie tout entière était dominée par un roi chrétien » écrivent Christian Julien Robin et Tayran, page 76 dans l’ouvrage de Moezzi et Dye « Histoire du Coran » le Cerf 2022).
Cela signifie plusieurs choses : que le monothéisme avait déjà, depuis plusieurs siècles, remplacé en Arabie l’ancien polythéisme des Bédouins,au moment de la création de l’Islam. Que le judaïsme avec ses grandes figures (Moïse, Abraham, les prophètes) était connu des populations nomades et oasiennes de la Mecque et de Médine. Que le christianisme, Jésus, Marie, les évangiles, les messages du christianisme, étaient connus de ces mêmes populations. Et que tout cela explique pourquoi le Coran des musulmans contient à presque chaque page des références à la Bible (« le Livre »), à l’Ancien et au Nouveau Testament. Ces références incessantes dans le Coran indiquent que non seulement le Muhammad de La Mecque et de Médine de 610 à 632, mais son auditoire, ses compagnons, et les lecteurs à qui est destiné le Coran en phase finale d’écriture à la fin du 7 ème siècle, connaissaient à la perfection le judaïsme et le christianisme.
Ne pensez-vous pas, Ahmed et Fatima, qu’il y a une conclusion à tirer de ces observations ? A savoir que Muhammad jusqu’à sa mort en 632, mais aussi ses compagnons, ainsi que les premiers califes qui décidèrent que soit écrit le Coran, comme la population à laquelle était destiné cet écrit aux alentours de l’an 800, basaient leur vie sur les écrits de la Bible et des Evangiles.
N’avez-vous pas remarqué, à la récitation des versets du Coran, combien le Muhammad du Coran est effrayé, obsédé, obnubilé par l’idée du Jugement Dernier, de la Fin du Monde, de la Parousie ? Il connaît et prend au sérieux les « prophéties » bibliques et, en fait, il reproche à ses voisins juifs de La Mecque et de Médine d’être de mauvais juifs, tièdes dans leur obéissance aux prophètes les appelant à la conversion. De la même façon, il se base sur les enseignements de Jésus et de ses évangélistes (y compris certains évangiles apocryphes, comme celui de Thomas) et il reproche à ses voisins chrétiens des mêmes oasis et qu’il rencontre lors de ses voyages commerciaux en Syrie, à Gaza, en Jordanie, de se montrer tièdes, finalement peu effrayés à l’annonce du Jugement Dernier que pourtant les Evangiles rappellent. Alors que lui, Muhammad, est certain que la Fin du Monde est pour demain, qu’il va la connaître de son vivant et va y laisser sa peau. Il prend à la lettre les mises en garde de Jésus et des évangélistes ainsi que des prophètes de la Bible, et il se montre plus juif que les juifs, plus chrétien que les chrétiens. Plus croyant en Dieu, le Dieu des juifs et celui des chrétiens, que les croyants juifs et chrétiens qu’il admoneste en leur demandant davantage de religion.
Ahmed et Fatima, vous découvrez que Muhammad, le prophète de l’islam, s’est mis en réalité à La Mecque et à Médine, au service du judaïsme et du christianisme. Il est en colère contre les croyants juifs et les chrétiens ses contemporains qu’il juge sourds à l’annonce du Jugement Dernier et à la Fin imminente du Monde dont il a peur, qu’il redoute, et qu’il prend au sérieux car il veut faire partie des élus dans le Paradis du Créateur du monde. Il leur demande de se montrer davantage juifs et davantage chrétiens.
Vous découvrez aussi que le Coran, écrit près d’un siècle après la mort de Muhammad, au moment des conquêtes militaires arabes que n’avait pas prévues Muhammad, est en réalité une véritable trahison du soi-disant prophète de l’islam. En lui faisant dire des propos qu’il n’a jamais tenus contre les juifs et les chrétiens. Vous découvrez que le Coran trahit également le message initial de Muhammad, qui n’était pas un message militaire ni politique, mais d’appel à vivre réellement selon les lois du judaïsme et du christianisme. L’islam d’après Muhammad a trahi ce même Muhammad ! Le Coran est une pure trahison de ce même Muhammad !
Vous découvrez que cette trahison de Muhammad et de son message par les écrits fondateurs de l’Islam (le Coran et les hadiths) a été intégrée dans l’Islam et transmise de force sans que beaucoup de musulmans ne réagissent. Ceux qui ont réagi ont été éliminés, exclus du sunnisme et du chiisme dominants. C’étaient les mystiques, les religieux, opposés au djihad, à la conquête violente.
Lorsque vous découvrez cela, qui était en réalité Muhammad, qui furent les premiers musulmans, des Arabes prenant au sérieux les annonces par les prophètes juifs et chrétiens d’une fin du monde imminente, et qui furent, un siècle plus tard, les guerriers tentant de justifier leurs exactions en prétendant dans le Coran qu’ils ne faisaient qu’obéir à Allah, il vous reste à choisir entre devenir, vous aussi, des « radicalisés » des « islamistes », des « fondamentalistes », de vrais musulmans obsédés par l’imminence de la fin du monde et du Jugement dernier, ou bien de comprendre qu’il faut, en urgence, abandonner l’islam, cette erreur historique, cette invention de guerriers, ces traîtres à Muhammad. Et qu’il faut cesser le djihad, le devoir de conquête, la guerre menée depuis 14 siècles par les Arabes et les populations arabisées et islamisées contre le reste du monde.
Voyez comment, près de 14 siècles plus tard, ce même Coran véritable « manuel du guerrier de l’islam » inspire encore les combattants du Hamas et du Hezbollah, stimulés par le vieil antisémitisme, le vieux racisme des années 640 lors de la prise de Jérusalem par les conquérants arabes et des années suivantes qui virent l’anéantissement des tribus juives de l’ancien royaume juif du Himyar. Tant que cet islam dévoyé continuera à corrompre les Palestiniens musulmans ils estimeront comme leur premier devoir de combattre le juif infidèle qui est faussement condamné dans le Coran par Allah lui-même. Le mal d’aujourd’hui a des origines bien lointaines ! Mais le diagnostic scientifique, l’étude des vraies origines du Coran, peut aujourd’hui en déceler les véritables causes. Et les musulmans en France doivent choisir : combattre les Français pour conquérir la France, ou bien admettre qu’il ne faut plus être musulmans en France.

Ainsi, maintenant, ou bien vous décidez de vous-mêmes soit de devenir des musulmans purs et durs, appelés « islamistes », et en ce cas vous comprendrez que nous nous opposons fermement et à mort à votre choix, à votre idéologie, à votre guerre offensive contre nous. Nous exigerons votre expulsion vers un pays qui aura choisi votre idéologie comme modèle de société. Nous refusons l’extension de l’islam en France, la conquête de notre pays et de notre civilisation par l’islam. C’est notre droit et notre devoir. A votre guerre offensive de conquête nous riposterons par une guerre défensive. A mort.
Vous pouvez aussi, ayant bien compris ce qui s’était passé du temps de Muhammad, son but, l’interprétation erronée qui en a été faite au moment de partir en guerre (dès 640, prise de Jérusalem) et au moment de justifier ces guerres en écrivant le Coran pour l’attribuer à Allah, de justifier aujourd’hui par un simulacre de religion les crimes commis en son nom depuis 14 siècles, vous pouvez décider d’apostasier, d’abandonner cette voie erronée, et de vous ranger du côté de ceux avec qui vous voulez vivre en paix, les Français non-musulman. Et décider, vous aussi, de lutter contre l’islam et son avancée en Europe. Dans ce cas, topez là !

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