Ouvrage : Moi, président des couacs – de Joël Amar & Ziad Gebran
Moi, président des couacs
Kawa
Alors que François Hollande avait, jusqu’en 2012, la réputation de maîtriser les codes des combinaisons d’appareils et de la communication politique, il n’a cessé, avec ses gouvernements successifs, de multiplier les « couacs » au cours de son funeste quinquennat.
Les deux auteurs, conseillers en communication, reviennent sur cette série impressionnante de couacs.
Cela donne un livre à la fois désopilant, terrifiant et extrêmement instructif sur les travers de notre caste politico-médiatique.
En espérant que la grosse « erreur de communication » sur l’inversion de la courbe du chômage nous évite un nouveau quinquennat socialiste…
Comments (5)
Ne chargez pas trop sur MOIJE. Car son “successeur” très probable sera l’iman- JUPPUTE de bordeaux. Lequel risque bien de vous faire regretter le scouteriste. En tous cas , après avoir visionné son interview de la semaine dernière chez pu-jadas, on est édifié. Notamment avec ses non réponses à Ménard qui se plaignait de se voir imposer des cours de langués d’origine (turc et arabe) dans ses écoles. Le maire de bordeaux sui ressemble a mon cul comme deux gouttes d’eau, lui rétorquait avec toute sa morgue et sa suffisance que lui aussi avait des écoles où la langues d’origine était imposée, en l’occurrence l’anglais. Quand je vous dit que cet enfoiré vous balancera du muzz a tous les étages….
alors, si, maintenant un Juif et un Musulman unissent leurs plumes pour dézinguer Guimauve le Conquérant, c’ est qu’ il n’ y a plus aucun’ espoir pas davantage que d’ avenir pour le Phénix de Rouen à moins peut être qu’ il ne se fasse incinérer vivant pour mieux … renaître
“Président des Couacs”…Le pluriel est évident, bien que “Président du Couac” exprimerait un bien indivisible, uniquement réservé au Président, Quoique….
oui ce pourrait être un modèle déposé
Il serait difficile de lui éviter le pluriel, “quoique” le singulier le rendrait unique.
” Après “l’Agésilas” hélas, mais après “l’Attila”, holla ! “