2024 : année électorale mondiale

2024 : année électorale mondiale

Les élections européennes n’ont pas chassé Ursula von der Leyen de son poste. L’UE n’est pas remise en cause et on ne compte toujours que trois pays membres dirigés par la droite : Italie, Hongrie, Pays-Bas.
En France, un Macron désavoué parie sur des élections législatives. Toute personne sensée sera donc allée voter contre l’infâme collectif écolo-palestino-communiste de Mélenchon-Hollande mais rien dans la Constitution n’oblige à la cohabitation annoncée. Ce procédé résulte d’un amendement de facto, hérité de Mitterrand, avec les conséquences que l’on sait : le socialisme à perpétuité.
Aujourd’hui, la « droite » en lice est qualifiée d’extrême et de populiste, ce qui est faux puisque ses divers éléments obéissent à l’UE étatiste, sont eux-mêmes étatistes et veulent redistribuer plus, alors que l’urgence serait de baisser les impôts et de supprimer les fraudes sociales qui nous plombent.
Si cette union des (pseudo) droites gagne, le populiste d’extrême-gauche Mélenchon prévoit des émeutes, comme il a vu faire aux États-Unis durant l’été 2020.
Donc, de véritables réformes point, ni en France ni dans l’UE.
Au Royaume-Uni, le Premier ministre Sunak, qui n’a jamais été élu, a lui aussi fait le pari d’élections législatives anticipées. L’effroyable Corbyn (ultra-gauchiste, antisémite et anti-anglais) étant parti, Sir Keir Starmer à la tête du Labour Party fait beaucoup moins peur et des milliers d’électeurs conservateurs, s’estimant trahis par les mondialistes au pouvoir, ne voient pas pourquoi ils se déplaceraient le 4 juillet et semblent résignés à ce que Labour l’emporte et continue la politique de faillite menée par les faux conservateurs. Nigel Farage, Mr Brexit, haï et méprisé par les conservateurs au pouvoir, ne renouvelle pas cette fois-ci la faveur qu’il avait faite à ces ingrats en 2019 en retirant ses 317 candidats Reform Party, désormais le seul parti vraiment conservateur. Il se présente avec le but d’être la première force d’opposition au Labour en 2029, devant le parti conservateur.
La défection massive de l’électorat Tory et de plusieurs gros donateurs en sa faveur semble avaliser ce pari. Du reste, de nombreux élus conservateurs l’ont déjà rejoint. Car, contrairement à nous, nos amis anglais ont un vivier de talents politiques de réserve.
Mais, bien sûr, l’élection qui compte en 2024, loin devant toutes les autres parce que d’elle dépend notre sort en tant qu’Occidentaux, c’est la présidentielle américaine.
Trump a accepté de se soumettre au débat du 27 juin, aux conditions imposées par CNN pour favoriser Biden. Cela à une date extrêmement précoce (avant les primaires des deux partis), si précoce qu’elle en est révélatrice : passé la Convention démocrate du 8 août, il serait impossible de remplacer Biden.
Or, en terrain miné, Trump a gagné : face à un concurrent hagard et hébété, il a su rester imperturbable devant les mensonges grossiers et éculés débités par un Biden au pire de sa condition. Joe l’Escroc n’a que 81 ans, on lui en donnerait 100 ! Non, aucune pitié pour Biden, corrompu, raciste mal dégrossi, mesquin, responsable de politiques criminelles envers son pays et de l’état de chaos mondial actuel, indifférent aux souffrances que sa politique a provoquées et menteur patenté. Et c’est pour ce prodige qu’il fallait violer les règles électorales en 2020.
La gauche malhonnête (et ses caniches européens) fait semblant de découvrir ce que nous savions depuis 2020 : que Biden, même dirigé par « l’État profond », est incapable de tenir son rôle de marionnette. Or, la gauche n’a aucune star crédible à lui substituer. Gavin Newsom, si beau parleur qu’il soit, a à son actif de Gouverneur de Californie un bilan effarant.
Rien ne devrait arrêter Trump.
Aussi, il est impossible que la gauche tueuse n’invente pas une autre machination diabolique pour se maintenir à tout prix : jusqu’au 5 novembre et même jusqu’au 20 janvier 2025, tout est possible. N’oublions pas que le 8 août 2022, le FBI est entré de force chez Trump en Floride avec ordre de « tirer pour tuer » à la moindre résistance. Il y a aussi les 10 millions d’illégaux (dont des terroristes avérés) qui ont reçu cartes de crédit, téléphones portables et « cartes d’électeurs enregistrés » avant d’être disséminés dans les 50 États, les failles manifestes du vote postal anticipé, la possibilité d’émeutes violentes ou encore que la Russie, la Chine et l’Iran tentent leur chance avant l’échéance.
Pour la gauche américaine, plutôt une Troisième Guerre mondiale que Trump !

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