Allahicité du maire de Lyon
Le maire écolo-pastèque de Lyon, Grégory Doucet, s’est une nouvelle fois illustré par sa hargne contre les traditions françaises et son zèle pour la préférence étrangère.
Alors qu’il refuse obstinément de participer à la traditionnelle cérémonie du vœu des échevins, il vient d’inaugurer la mosquée Imam Malik.
Naturellement, il affirme respecter strictement la loi de 1905, refusant de participer à quelque cérémonie religieuse que ce soit, tout en permettant à chaque citoyen de prier selon sa foi. Cependant, cette réponse n’est pas sérieuse.
D’abord, parce que l’islam n’a pas la même distinction cultuel-culturel que le christianisme : selon le point de vue, l’inauguration de la mosquée peut être indifféremment qualifiée d’événement culturel ou d’événement religieux.
Pour une raison simple : il n’existe pas de liturgie musulmane – et toute mosquée est, par nature, la reconnaissance de l’unique dogme de l’islam, à savoir l’unicité de Dieu.
En d’autres termes, M. Doucet peut fort bien avoir réellement voulu respecter la loi de 1905 (compte tenu de son passif, la chose est douteuse, mais possible). Pourtant, il a bel et bien, par cet acte « culturel », affirmé non seulement son approbation de l’islam, mais aussi son rejet du christianisme.
Car je rappelle que la profession de foi islamique commence par une négation de la foi chrétienne (l’islam n’existe que dans sa négation de la Trinité et de l’Incarnation, les deux dogmes centraux du christianisme).
Tout acte culturel accompli en contexte islamique (ce qu’est évidemment l’inauguration d’une mosquée) est aussi un acte d’adhésion à l’islam et une déclaration d’hostilité au christianisme (et aussi au judaïsme, puisque la profession de foi musulmane implique, selon le Coran, une profession d’aversion perpétuelle contre les juifs).
Il ne s’agit donc pas seulement de permettre à chaque citoyen de prier selon sa foi, comme le prétend le maire, mais bel et bien de soutenir une partie de la population contre une autre.
On peut dire, comme beaucoup de médias, qu’il s’agit d’une conception de la laïcité à géométrie variable. Mais c’est plus grave encore : volens nolens, il s’agit du soutien indirect des pouvoirs publics à l’instauration de la charia en France – et donc, oui, il s’agit bel et bien de préférence étrangère.
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