Aux États-Unis, la canicule n’existe pas !

Aux États-Unis, la canicule n’existe pas !

Ces derniers jours, il a fait en France un peu plus chaud qu’à l’accoutumée.
Ce n’est pas la première fois que cela se produit. Le climat, nulle part sur terre, n’est réglé comme un métronome. Je l’ai déjà répété cent fois, et la nature est la nature. Elle n’est pas toujours accommodante avec les êtres humains. Il y a des tremblements de terre et des tsunamis, des éruptions volcaniques, des tornades, des typhons, des inondations et des tempêtes, des phases de sécheresse aussi.
Les êtres humains ont réussi à vivre et à bâtir des civilisations en maîtrisant la nature et en la soumettant. Ils ont inventé des technologies pour cela.
Si la terre est porteuse de milliards d’êtres humains aujourd’hui, c’est que nombre d’aléas naturels ont été surmontés, que des maladies ont été vaincues, que des gains de productivité permettant de faire vivre davantage d’êtres humains ont été accomplis.
Il n’est pas établi qu’un réchauffement climatique s’opère, car les travaux du GIEC sont menés sur des bases staliniennes, mais ce n’est pas impossible.
Il n’est surtout pas établi qu’il existe un réchauffement climatique anthropique, et il est flagrant que l’écologisme moderne est un prolongement du marxisme par lequel on remplace la dénonciation de l’exploitation de l’homme par l’homme par la dénonciation de l’exploitation de la nature par l’homme. Et l’écologisme moderne, marxiste, conduit à des décisions stérilisantes.
Les économies européennes sont en voie de destruction au nom de la lutte contre les émissions de gaz carbonique. La vie quotidienne des Européens est striée de mesures liberticides ineptes, et les discours disant que la fin du monde approche conduisent à une dénatalité et à un pessimisme inquiétants. Et, pendant ce temps, d’autres régions du monde se développent économiquement sans céder aux lubies.
Aux États-Unis, les partisans de la destruction et des mesures liberticides existent : ils étaient au pouvoir sous l’administration Biden, et ils ont beaucoup nui mais, fort heureusement, ils ont perdu les élections. Trump remet le bon sens à sa place. Mais, de toute façon, même sous Biden, les États-Unis étaient moins atteints que l’Europe. Et je dois le dire : aux États-Unis, il n’y a pas de canicule, non. Jamais.
Il fait parfois chaud l’été, et je vis dans une ville où il fait particulièrement chaud en juin-juillet-août : Las Vegas. Si je me rendais en Arizona ou dans le sud du Texas en ce moment, il ferait encore plus chaud. Néanmoins, nul ne parle de canicule et, aux États-Unis, la canicule n’existe pas.
Il existe un moyen commode né de l’inventivité humaine pour agir quand il fait chaud : la climatisation. Chez moi à Las Vegas, la température est de 25 degrés quand il fait vingt degrés dehors (l’hiver), et elle est toujours de 25 degrés quand il fait 50 degrés dehors (oui, cela arrive). Chez mes voisins, c’est la même chose. Dans toute la ville, c’est la même chose aussi, et c’est surtout la même chose dans les maisons de retraite, dans les écoles, dans les commerces. Quand une catastrophe survient, on ne l’attribue pas au réchauffement climatique anthropique.
En France et en Europe, en raison de l’écologisme moderne, marxiste, la canicule existe et elle existe parce que la climatisation est combattue et est souvent absente. Dans les maisons de retraite, il y a maintenant une pièce climatisée : c’est le cas depuis une hécatombe qui a eu lieu voici quelques années, et on ne condamne plus à mort les vieilles personnes au nom de l’écologisme moderne. Dans les écoles et les autres établissements d’enseignement, la climatisation est absente. C’est aussi le cas dans la plupart des domiciles.
Et je dois le souligner : la situation en France et en Europe regardée depuis les États-Unis apparaît ridicule et pathétique.
Ridicule parce qu’on propose des remèdes archaïques à un problème qu’il serait technologiquement simple d’éviter.
Pathétique parce que, précisément, il serait simple d’éviter le problème et qu’on ne le fait pas, ce qui fait des morts chaque année. Et ce doit être souligné sans cesse : l’écologisme moderne, marxiste, est un anti-humanisme, comme toutes les autres formes de marxisme. La France et l’Europe quitteront-elles l’antihumanisme ? J’aimerais le penser. J’en doute, hélas.

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