Basculement civilisationnel

La France, par le biais de ses journalistes, n’a fait que vomir sur Donald Trump, allant même jusqu’à le comparer à un personnage atteint d’une maladie mentale (psychopathe). Il serait imprévisible. La même remarque pourrait s’appliquer à Vladimir Poutine devenu un agresseur dangereux pour l’Occident. Les Ukrainiens russophobes sont nombreux chez nous et les Femens, fortement représentées au sein de nos télévisions. Ces chefs d’État sont tout simplement des conservateurs. Ils ont le tort de ne pas être de la gauche révolutionnaire, existentialiste (pensée développée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir). Dieu n’existant pas, « l’existence précède l’essence ». D’où la théorie du genre avec la prééminence des LGBT, la non-criminalisation, ou banalisation, de l’avortement et de l’euthanasie, contraires aux valeurs du décalogue sur lequel reposent les religions judéo-chrétiennes. Tous ceux qui ne se soumettent pas à ce basculement civilisationnel sont qualifiés comme d’extrême droite, c’est-à-dire amalgamés avec le socialisme national ou le néonazisme, dont le classement à droite résulte des communistes (après le pacte germano-soviétique) nombreux à la Libération.
Tout le monde sait qu’Emmanuel Macron ambitionne la présidence d’une Europe fédérale hédoniste soutenue par tous les anciens trotskistes devenus journalistes, souvent écologistes. Mais peut-on se prétendre humaniste quand on soutient une guerre qui a déjà fait plus d’un million de morts européens (Moscou et Kiev sont géographiquement dans l’Europe) ? S’y ajoutent de nombreux influenceurs Juifs antisémites ayant la haine d’eux-mêmes et de Benyamin Nethanaou ad nauseam.