Dictature des minorités
Tous nos journalistes étaient contre Donald Trump, comme ils sont contre Vladimir Poutine, Benyamin Netanyahou ou Viktor Orban. Tous ces journaleux, comme de nombreux magistrats, demeurent marxistes, trotskistes, en bref d’extrême gauche. Pour eux, être démocrate consiste à se soumettre à leur idéologie, à être leur ludion ou leur serviteur, voire leur suppôt. Dans le cas contraire, c’est être fasciste – ils ignorent que le fascisme se situe à gauche. Ras-le-bol de la dictature verte, héritière à certains égards du nazisme. L’écologie des salons urbains, notamment parisiens, est une idéologie guerrière éloignée des vraies sciences et surtout du terrain. Au lieu de s’adapter aux changements climatiques, elle prétend pouvoir modifier l’univers et ses lois physiques. Ras-le-bol des dictatures LGBT, fondées sur la supériorité de la transgression de la civilisation basée sur le judaïsme et en particulier sur le Décalogue, le tout avec pour corollaire la promotion de l’avortement, de la théorie du genre et de l’euthanasie (elle-même mise en œuvre dans le passé par les médecins socialistes nationaux allemands). Ras-le-bol du wokisme venant de la communauté noire américaine. Tous ces néo-révolutionnaires journalistiques ont déclaré la guerre à la Russie et aux conservateurs américains. Donald Trump a repris la thématique de Jean-Marie Le Pen : « La France d’abord » devenue « L’Amérique d’abord ». Oui, il faut arrêter les guerres et, pour la France, utiliser la « servitude et grandeur militaire » (armée) pour protéger nos policiers, nos douaniers et nos frontières des narcotrafiquants et de l’islam conquérant. Est-il déjà trop tard ?
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