Donald Trump, un héros américain

Donald Trump, un héros américain

Rien n’est plus important dans l’actualité de ces derniers jours que la tentative d’assassinat contre Donald Trump.
Les États-Unis sont la première puissance du monde, et le choix du président des États-Unis a toujours des conséquences planétaires.
Donald Trump était en excellente position pour être réélu le 5 novembre prochain avant la tentative d’assassinat.
Après la tentative d’assassinat, il a toutes les chances pour connaître une réélection triomphale, ce qui permettrait un redressement des États-Unis après les désastreuses années Biden, une fin rapide de la guerre en Ukraine, une fin rapide aussi de la guerre à Gaza, et un recul de la menace constituée par le nouvel axe du mal, qui repose sur l’alliance entre les principales puissances hostiles au monde occidental et à la démocratie.
Un assassinat réussi de ­Trump aurait plongé les États-Unis dans le chaos, dans une atmosphère de guerre civile, et aurait eu des conséquences que nul ne peut imaginer sur l’élection du 5 novembre et sur le futur des États-Unis et du monde.
Nul républicain aujourd’hui n’a la puissance et la stature de Donald Trump, et ne serait à même de le remplacer.
Une réélection de Joe Biden, qui est à un degré de sénilité tel qu’il ne peut plus rien décider lui-même, ou une élection de Kamala Harris, qui serait, si Biden devait accepter d’être remplacé, en tête de liste pour un remplacement rapide, conduirait à une accentuation du désastre Biden, à un estompage de la puissance américaine, et à une offensive plus déterminée du nouvel axe du mal.
Et ce doit être dit : le tireur a failli réussir. La balle qui a arraché le haut d’une oreille de Donald Trump aurait pu, à deux ou trois centimètres près, pénétrer le crâne de Donald Trump et le tuer.
Que le tireur ait pu être à 130 mètres environ de Donald ­Trump, sur le toit d’un hangar, sans que les agents du Secret Service l’aient mis hors d’état de nuire avant qu’il tire, et qu’il ait pu même se placer sur le toit d’un hangar à une courte distance d’un homme très menacé sans que les agents du Secret Service l’aient empêché de monter sur le toit du hangar, constitue une faute extrêmement lourde de la part du Secret Service, et une enquête conduisant à des sanctions devra être menée.
Elle le sera très vite, et la directrice du Secret Service, une femme qui vient de la firme Pepsi Cola, devrait logiquement être démise de son poste : sa nomination a fait partie des nominations aberrantes, délirantes et dangereuses effectuées par l’administration Biden.
Ce qui doit être ajouté est que le fait que Donald Trump ait échappé à la mort tient presque du miracle. Un léger mouvement de la tête de sa part aurait fait que le tireur aurait réussi son coup. Un spectateur situé derrière ­Trump est mort, deux autres spectateurs ont été blessés.
Ce qui doit être souligné est le courage et la solidité de Donald Trump, qui s’ajoutent à sa puissance et à sa stature : un homme blessé, qui vient d’échapper à la mort d’extrême justesse, que des agents de sécurité s’efforcent d’évacuer au plus vite, ose se relever, s’adresser à ceux qui le soutiennent en leur demandant de continuer à se battre, et pense surtout à effacer leur potentiel désarroi.
Cela place Trump au niveau des plus grands héros de l’histoire américaine.
Trump se bat pour son pays et pour son peuple. Il se battra tant qu’il y aura de la vie en lui. Ceux qui le soutiennent savaient déjà qui il est. Ils le savent bien davantage encore aujourd’hui.
Trump était déjà entré dans l’histoire. Sa place dans l’histoire sera désormais plus haute encore. La convention républicaine à Milwaukee cette semaine sera chargée de ferveur.
Ce qui doit être ajouté, face aux discours parlant d’un « climat de violence » aux États-Unis et de division du pays, discours incriminant parfois Donald ­Trump, est que ce ne sont ni Donald ­Trump ni les républicains qui ont créé la violence et la division, mais les démocrates et, plus largement, la gauche américaine.
Les démocrates et la gauche américaine essaient de faire oublier leurs incitations à la haine et au meurtre contre Donald Trump, ces incitations n’en existent pas moins, et elles sont accablantes. Les démocrates et la gauche américaine ont une écrasante responsabilité dans ce qui vient de se passer.

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Comments (1)

  • BAINVILLE Répondre

    Il est exact que le parti démocrate, aux ordres de l’Etat profond dénoncé déjà par G.Busch senior, continue la politique d’avancée militaire en Europe de l’Est, avec l’Ukraine surtout depuis le coup de force de Maïdan en 2014. Des dizaines de milliers de russophones d’Ukraine ont été les victimes des bombardements organisés depuis l’Ouest.

    Il faut souhaiter que le “Ticket” Trump – Vance puisse arrêter la boucherie en Ukraine. Zelenski lui-même est en train de comprendre (avec l’aide active du remarquable Viktor Orban) qu’il a fait fausse route en violant les accords de Minsk 2 et surtout en refusant , contraint par Boris Johnson, les négociations de paix initiées par Erdogan au début du conflit.
    Le résultat est qu’il perdra maintenant encore plus de territoires. A part Orban, tous les dirigeants européens se sont montrés irresponsables au minimum; actuellement sans le secours d’un pouvoir républicain gagnant en novembre, Viktor Orban sera bloqué, car les pantins européens veulent s’en débarrasser.

    17 juillet 2024 à 16 h 56 min

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