Écologisme

L’État empochait 60 % du prix des carburants, ce qui constituait un apport budgétaire relativement important.
Dans certains pays, les voitures électriques sont tributaires d’une vignette. Même avec la TVA sur l’électricité, cet impôt est globalement inférieur à celui prélevé sur la consommation des hydrocarbures.
Chez nous, la pression est mise pour le remplacement du parc des véhicules thermiques par des véhicules électriques. C’est une absurdité qui finira par se retourner contre les usagers.
Dans l’hypothèse peu crédible du réchauffement climatique anthropique, il faut prendre en compte les gaz à effet de serre émis à partir de la construction jusqu’à la déconstruction. La durabilité des véhicules dotés d’un moteur diesel est très supérieure à ceux subventionnés par un bonus écologique pour inciter à l’achat. Les premiers équipés de filtres catalytiques polluent très peu. Les automobilistes sont de plus en plus nombreux à se détourner du tout-électrique qui s’avérera être, à terme, une ruine pour l’environnement et le pouvoir d’achat de nos concitoyens. Le Président américain Trump, ayant bien les pieds sur terre, l’a compris. Le libéralisme est aux antipodes de notre dictature verte, héritée du socialo-communisme de l’ancienne URSS, avec ses normes idéologiques contraignantes.
Chaque citoyen doit pouvoir choisir son mode de déplacement en fonction de ses besoins, de ses ressources et de ses convictions.