Effondrement

Le CAC 40 a anticipé la baisse économique de nos entreprises en passant de 8 239 points, le 13 mai, à 7 194 points, le 24 novembre, quand la bourse américaine n’a cessé de croître.
Le chaos politique est déjà dans ses cours. Nos politicards ont des comportements totalement irresponsables. Les chômeurs sont moins nocifs et coûteux que les parasites marxistes, trotskistes, ou soixante-huitards attardés qui les entourent. Ce monde, souvent associatif, fonde son existence sur la contestation permanente du capitalisme. Il souhaite soit la décroissance, soit une société communiste de type autogestionnaire.
Passons sur la dégradation du rapport qualité-coût des services publics fonctionnarisés.
Les investisseurs ont les pieds sur terre. Ils sont déjà à 60 % étrangers, suite à l’absence de fonds de pension dans notre pays. Le système de retraite par répartition ne peut plus fonctionner avec bientôt 1 retraité pour 1 actif productif.
L’État ajoute alors les compléments nécessaires en accumulant les dettes, c’est-à-dire les impôts de demain.
De très nombreuses PME sont tributaires de ces grands groupes. Leur surtaxation va entraîner des départs progressifs vers des cieux plus cléments. Ainsi l’énergéticien Total va déplacer la cotation de ses actions de Paris aux USA – et ce déplacement sera sans doute suivi ultérieurement de celui du siège. Il va de soi qu’il fermera ensuite ses raffineries vieillissantes chez nous. Dans peu de temps, la France ressemblera à feu l’URSS.