Émeutes au Royaume-Uni

Émeutes au Royaume-Uni

La situation en Grande-Bretagne est catastrophique.
Après l’assassinat de trois fillettes par un jeune homme, né de parents rwandais, à Southport, des manifestations ont spontanément éclaté un peu partout.
Mais, au lieu d’entendre la colère des manifestants, les autorités – nouveau gouvernement travailliste en tête – ne cessent de jeter de l’huile sur le feu.
D’abord, en mentant éhontément en prétendant que le problème du pays est « l’extrême-droite », comme si l’immigration massive et non assimilée n’était pas un problème bien plus urgent et bien plus grave.
Ensuite, en sanctionnant durement les Britanniques qui dénoncent cette submersion migratoire.
Enfin, en étant d’une invraisemblable clémence pour les immigrés – notamment musulmans – qui attaquent les manifestants ou manifestent à leur tour en appelant à soumettre les Britanniques « de souche ».
Ces deux derniers points alimentent en outre un sentiment d’injustice de plus en plus fort.
C’est ainsi qu’un Britannique a été condamné à 20 mois de prison, dont 10 fermes, pour un post sur Facebook appelant à l’émeute, tandis qu’un manifestant islamiste appelant à égorger les Britanniques n’a même pas été inquiété !
Le gouvernement a même annoncé son intention de libérer des criminels de droit commun. Officiellement pour « lutter contre la surpopulation carcérale », ce qui est déjà délirant – mais, en réalité, pour pouvoir incarcérer les Britanniques qui refusent de se laisser « grand remplacer ».
Mieux, si j’ose dire, à la faveur de cette « lutte contre la surpopulation carcérale », un certain Carlos Neto, reconnu coupable d’avoir tué un adolescent à la machette, va être libéré après seulement six mois de prison.
Comment voulez-vous que les Britanniques normaux (et, avec eux, tous les Européens attachés à leurs racines) réagissent à ces provocations ?
Manifestement, leur gouvernement leur a déclaré la guerre.
Naturellement, la justice, les médias et le gouvernement sont aussi partisans, aussi idéologues et aussi anti-nationaux, de ce côté-ci de la Manche que de l’autre.
Voici plus d’un demi-siècle, le courageux homme politique britannique Enoch Powell prononçait son fameux discours sur les « fleuves de sang » qu’allait déclencher l’immigrationnisme.
Nous y sommes aujourd’hui – et la caste jacassante continue à persécuter ceux qui sonnent le tocsin, au lieu de tenter de résoudre un problème dont elle est seule responsable !

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