Ensauvagement : de qui parle-t-on ?

Ensauvagement : de qui parle-t-on ?

Depuis qu’un constat majoritaire dans la population a conduit certains politiciens et journalistes à se réapproprier le mot « ensauvagement », demeure malgré cela un tabou : quelle fraction de la société est exactement concernée car, plutôt que de « brainwasher » à partir du cas de quelques touristes à la semaine qui se seraient fait dérober leur téléphone au pied de la Tour Eiffel (quelle affaire !), ne pourrait-on pas prendre en compte le ressenti de ceux qui viennent visiter la France de façon définitive ?

Les premiers Français que croisent les migrants, passant par l’Italie par exemple, sont les quelques policiers de la Police des Frontières en poste à Montgenèvre qui, sous l’effet du nombre d’entrants combiné avec le laxisme camouflé dans la complexité des procédures de contrôle, se voient dans l’obligation de les saluer et de leur souhaiter bonne route : pas vraiment un comportement de sauvages !

Arrivés dans la vallée, les migrants sont hébergés, nourris et conseillés sur ce qu’ils doivent faire et dire pour être sûrs de ne pas être renvoyés dans leurs pays par l’organisation pro-immigration Refuge Solidaire Briançon dont les comptes sont approvisionnés par un réseau opaque de « donateurs » dont certains vivent en partie de l’argent pris dans la poche… des Français.

Puis, afin qu’ils poursuivent leur progression en auto-stop jusqu’à Grenoble, l’association peut aller jusqu’à les faire escorter par une militante qui, pour multiplier les chances de faire s’arrêter les conducteurs, va utiliser le bon vieux truc consistant à s’habiller en short (en été quand même…) et à faire semblant d’être seule : à force de voir se répéter ce scénario au même endroit (au croisement de la RD1091 avec la N94), je me suis assuré de la réalité des faits en me faisant passer pour un automobiliste naïf prêt à covoiturer l’accompagnatrice de cinq Africains qui y était en mission le 24 août vers 12 h 30.

On peut donc raisonnablement penser qu’après seulement quelques heures passées sur notre territoire, la première idée qui puisse arriver dans l’esprit des migrants soit : « Ils ne sont pas du tout sauvages ces Français ! » Alors avis au prochain qui parlera « d’ensauvagement de la société » : merci de bien vouloir entrer dans les détails car des millions de Français ne sont pas concernés.

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