France : soumission à l’islam

France : soumission à l’islam

Un musulman a été assassiné voici peu par un Rom dans une mosquée. C’est tragique. C’est ignoble. L’indignation a été omniprésente dans les médias français. Il y a eu une minute de silence à l’Assemblée nationale, et la « haine islamophobe » a immédiatement été placée au centre des débats.
J’aurais juste envie de poser une question : combien de musulmans ont été assassinés en France depuis 2006, l’année de l’assassinat d’Ilan Halimi ? J’ai cherché. Je n’ai rien trouvé.
Combien de Juifs ont été assassinés pendant la même période, essentiellement par des musulmans (c’est un fait qui doit être souligné) ? Là, il est aisé d’établir une liste longue et accablante, le dernier en date a été Elias, quatorze ans, assassiné à la sortie d’une séance d’entraînement de football à Paris, d’un coup de machette.
Quand les meurtres ont été particulièrement atroces, ils ont été commentés. Mais cela n’a pas été le cas de tous.
Il a été question de retour de l’antisémitisme en France, mais a-t-il été question de l’antisémitisme islamique ? Non, quasiment jamais. Quand on parle de l’antisémitisme en France, on dénonce volontiers l’antisémitisme d’extrême droite, qui n’a agressé et ne tue aucun Juif depuis 1945 ou, de plus en plus souvent ces dernières années, l’antisémitisme d’extrême gauche incarné par la France Insoumise, mais l’antisémitisme islamique est largement occulté et passé sous silence. Pourquoi ? Parce que le dénoncer serait « islamophobe », bien sûr.
Et l’islam en France est devenu la religion la plus sacrée et la plus intouchable.
Mais les assassinats de Juifs ne sont pas les seuls dont il faut parler. L’entrepreneur Hervé Cornara, décapité au couteau par un de ses employés le 26 juin 2015 à Saint-Quentin-Fallavier n’était pas juif, le père Hamel assassiné pendant qu’il disait la messe le mardi 26 juillet 2016, ne l’était pas non plus, la pauvre petite Lola, torturée et tuée à Paris le 14 octobre 2022, le jeune Thomas tué dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023 à Crépol, et la jeune Philippine assassinée dans le bois de Boulogne le 21 septembre 2024 ne l’étaient pas davantage – et le seul point commun qui permet de les rapprocher est que leurs assassins étaient musulmans.
L’homme qui a décapité Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, le 16 octobre 2020, à proximité du collège où il enseignait, et l’homme qui a assassiné Dominique Bernard, professeur de français, dans la cour du lycée où il travaillait, le 13 octobre 2023, étaient musulmans eux aussi. Est-ce islamophobe de le dire ?
Une jeune femme de quinze ans, Lorène a été tuée à Nantes de 57 coups de couteau, et son assassin n’était pas musulman, mais c’est une exception.
Parler d’« ensauvagement » de la France est, à mes yeux, très insuffisant. Il y a, en moyenne, 200 agressions au couteau par jour en France. Seules celles qui conduisent à la mort de la personne agressée sont relatées dans les grands médias.
Il y a des meurtres chaque année, les coupables venus du monde musulman sont en nombre important parmi les meurtriers. Dans les prisons françaises, les criminels musulmans représentent une proportion de la population carcérale très supérieure à la proportion de musulmans dans la population française.
C’est une réalité qu’il faut regarder en face, et à laquelle il serait crucial d’apporter une réponse, sans céder sans cesse aux accusations d’islamophobie. Les représentants de la religion musulmane devraient prendre une position claire et nette.
La justice française est laxiste, c’est un fait. L’immigration incontrôlée est un fait aussi. La violence musulmane est un fait encore. Tous les musulmans ne sont pas violents, c’est évident, mais un problème grave existe.
Des musulmans s’intègrent. Beaucoup ne s’intègrent pas, et sont des agents de chaos, de crime et de désordre. Les zones de non-droit existent et sont, de fait, musulmanes.
Il est impossible de régler un problème sans prendre en compte toutes les données qui le composent et, à l’évidence, le problème s’aggrave année après année. Des franges croissantes de la population française le voient. L’aveuglement total ou partiel des politiciens qui se succèdent au pouvoir crée les conditions d’une colère légitime qui pourrait finir par exploser.

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