Grande-Bretagne-USA : Ingérences électorales et « Relation spéciale »
Personne ne connaîtra à coup sûr le résultat des élections au soir du 5 novembre aux Etats-Unis, ni même les jours suivants. Ce que l’on sait en revanche, c’est que Donald Trump a accompli un parcours sans faute, brillantissime, depuis les primaires aisément gagnées jusqu’aux événements qui ont tenu le public en haleine au cours de l’été : une superbe Convention entre deux tentatives d’assassinat ratées, les rallies monstres (cinquante milliers de personnes à chaque fois) au rythme de trois par jour dont un deuxième à Butler, là où il fut blessé, et l’apothéose au (et très largement autour du) Madison Square Garden, à New York, le bastion de la famille Trump, en plus des entretiens et débats dans tous les médias, y compris les plus hostiles. (On note que nos chaînes françaises rivalisent avec force téléfilms alarmistes, truffés de contre-vérités, à la perspective d’une victoire de Trump, avec des titres subtils comme : Trump, le retour d’Hitler ? America First, le danger…tandis que leurs « experts » nous étalent leur ignorance crasse de l’Amérique traditionnelle).
Puis, il y eut les opérations de publicité, géniales : Trump en vendeur de frites à Mac Donald et en éboueur, arborant fièrement les tenues de ces emplois, tournant ainsi en dérision les mensonges et les insultes minables des marxistes démocrates contre lui et ses électeurs.
Comparons cela à la campagne de Kamala Harris, imposée brusquement par les Obama, Pelosi, Schumer et autres créatures de l’Etat profond en remplacement de Biden dont la sénilité n’était plus dissimulable après le débat face à Trump (ce retrait forcé de Joe le Mafioso a sans doute été obtenu par des négociations sur le sujet de sa corruption familiale). Kamala, qui parle du nez au point d’être pénible à entendre (sans parler de sa haine pour Trump, objet de ses geignardises insanes) ou qui rit sans raison comme une folle, Kamala qui n’a jamais obtenu une voix mais se retrouve (inconstitutionnellement) candidate à la présidence du poste le plus important du monde, Kamala qui ne fait pas un fauteuil et doit inviter des artistes pour avoir un semblant d’audience, Kamala qui a reçu 50 millions de dollars de Bezos et plus d’un milliard en tout pour sa campagne (une première dans les annales) malgré le bilan Biden-Harris, catastrophique sur tous les fronts.
Face au talent et au « programme de bon sens » de Trump et du GOP qu’il a régénéré, K. Harris est la candidate du marxisme économique et culturel, des intérêts mondialistes puissants, des grosses organisations internationales et des pays occidentaux dirigés par des socialo-marxistes (avec leurs médias) mais aussi la candidate espérée des dictateurs – enfin la candidate de l’Etat profond mondial.
C’est là son unique atout et toute sa force. Si, par malheur, elle était élue (c’est-à-dire par fraude, nationale et internationale), ce serait ces mêmes « élites » qui lui dicteraient leurs ordres comme on a vu pendant ces 4 dernières années avec Biden.
Il y a du reste une collusion des Etats profonds à l’oeuvre, ouvertement, depuis l’arrivée du Premier ministre anti-anglais Starmer et de son cabinet de marxistes. Entre la gauche américaine marxiste et les marxistes du gouvernement de Charles III (qui ne pipe mot), c’est une histoire d’amour torride au point que les travaillistes au pouvoir donnent un tour particulier à la « relation spéciale ».
Déjà, lors de la Convention démocrate, on avait noté la présence de dignitaires britanniques comme Morgan McSweeney, chef du personnel (et bras droit) du PM, Matthew Doyle, directeur de communication du PM, et nombre de députés travaillistes. On se souvient aussi qu’à la même époque, Starmer et David Lammy (son ministre des Affaires étrangères, lui-même très étranger aux intérêts anglais) avaient demandé à être reçus à la Trump Tower, malgré les insultes grossières dudit Lammy à l’encontre de Trump, et que Trump les avait gracieusement reçus comme si de rien n’était, tout cela dans la perspective d’un marché transatlantique entre les deux pays… Et voici que plus de 100 « stratégistes » britanniques sont envoyés par les travaillistes dans les Etats pivots, sous la direction d’une certaine Sofia Patel, pour « aider » la campagne de Kamala, au mépris total des lois électorales.
La gauche transnationale moralisatrice ne trouve rien à redire à ces ingérences électorales éhontées.
Et pour cause, « démocrates » américains, Commission européenne et travaillistes anglais sont tous acharnés à conjuguer leurs politiques anti-peuples : les inonder de populations du « Sud global », supprimer la liberté d’expression à Trump (en travestissant chacune de ses réflexions) et aux dissidents occidentaux (en cherchant férocement à museler Musk et son X).
C’est le marécage mondial contre Trump. Cette gauche déjantée ne recule devant rien. On lui doit déjà un risque sérieux de guerre mondiale possible et elle fait tout pour pousser ses propres peuples à la guerre civile en bafouant les opposants d’une part et en créant et alimentant les peurs collectives de ses troupes d’autre part. Toute la rhétorique anti-Trump et les tractations illégales en cours sont dans ce but.
Il faut donc s’attendre au pire au lendemain de ces élections.
A moins que Trump ne réussisse son Too Big To Rig, c’est-à-dire un raz de marée électoral triomphal.
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