Guerre ou paix en Ukraine : la valse-hésitation
À l’occasion de la fête nationale du 14 juillet 2025, a été remis en exergue pour un peuple anesthésié et déboussolé, le moment cocardier bleu-blanc-rouge de la patrie en danger, avec le chef d’état-major des armées, puis le Président de la République se livrant à des discours alarmistes et emphatiques quant aux menaces pesant sur la France, menaces qui viendraient en particulier de Russie.
Une Russie qui, pour mémoire, ne souhaitait au départ qu’un rapprochement avec l’Occident, mais que les bellicistes de l’hégémonisme américain ont réussi à contrecarrer avec un coup d’État, puis une guerre par procuration développée en Ukraine.
Conflit conduit et entretenu avec la complicité et l’appui de dirigeants européens soumis à leurs diktats, dont un Emmanuel Macron boutefeu, oublieux de la vision gaullienne qui concevait l’intérêt et l’avenir de la France dans un ensemble eurasiatique englobant la Russie.
Comment ne pas comprendre que, si le Président Poutine a finalement désigné notre nation comme adversaire prioritaire, ce ne peut qu’être lié aux déclarations et menées agressives et intempestives de notre chef de l’État qui, non content de soutenir sans sourciller le douteux régime de Kiev, rêve d’envoyer de prétendues troupes d’interposition en Ukraine, en s’engageant davantage dans une indubitable cobelligérance ?
Ceci, au lieu de s’occuper des problèmes et besoins de son propre peuple, en combattant et mettant hors d’état de nuire les hordes barbares qui, proliférant dans maints quartiers, sèment régulièrement le chaos et la désolation dans nos villes, véritable guerre menée par un ennemi intérieur.
Ennemi sans cesse réalimenté par une invasion migratoire incontrôlée de populations majoritairement musulmanes souvent inassimilables, voire haineuses.
Les difficultés qui assaillent les Français ne sauraient être réduites que par un changement de perspectives et de priorités avec un retour à la raison, à la clairvoyance et à un pragmatisme dont le locataire de l’Élysée apparaît totalement dénué
Quant à la paix en Ukraine, elle risque d’attendre, tant en raison de la russophobie exacerbée de celui-ci et de ses acolytes anglais et allemand qui aiguillonnent le dirigeant ukrainien Zelensky, que de l’incohérence du Président des États-Unis, Donald Trump, lequel s’avère d’une versatilité marquée avec des prises de position changeantes et contradictoires préjudiciables à la mise en œuvre de véritables négociations.
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