Il faut (et on peut) réduire les dépenses publiques !
Qui peut de nos jours ignorer l’état de déliquescence de la France et, en particulier, la situation de délabrement des finances publiques ?
Or que constate-t-on ?
Ne sont réclamés par nombre de citoyens que du pouvoir d’achat et des divertissements ; en fait « du pain et des jeux » comme dans la Rome antique dont chacun devrait se rappeler la fin : décadence et chute !
Parallèlement, interrogé sur la politique qu’il entend mener, le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, reste pour l’heure dans le flou, la seule mesure quelque peu clairement annoncée consistant à augmenter les impôts des plus riches et des entreprises pourtant déjà lourdement lestées de charges et contraintes.
Pour redresser la barre, ne conviendrait-il pas d’abord de renforcer la lutte contre la fraude fiscale, mais aussi sociale, et de s’attaquer vigoureusement aux dépenses excessives ?
Dans cette perspective, plusieurs leviers pourraient être actionnés pour faire des économies :
– application d’un moratoire sur l’immigration qui plombe les comptes sociaux (versement d’allocations en tous genres, prise en charge de présumés mineurs isolés, aide médicale d’État, etc.) ;
– limitation de l’assistanat (aides déresponsabilisantes à la consommation, notamment) ;
– recadrage des subventions distribuées à tout-va (aux partis politiques, syndicats, associations dont celles favorisant l’invasion migratoire, journaux, etc.) ;
– réforme du coûteux empilement des structures territoriales ;
– diminution du nombre global de fonctionnaires en supprimant des postes administratifs à redéployer vers les besoins des services actifs ;
– réduction du nombre des parlementaires.
Les fonds récupérés seraient à réaffecter pour faire baisser la dangereuse dette publique qui place le pays sous la menace d’une mise sous tutelle et pour favoriser les investissements productifs. Ceci sans accroître une nouvelle fois la pression fiscale déjà outrancière qui décourage les bonnes volontés et l’esprit d’initiative.
Comments (1)
En dehors de ce qui est ” URGENT ” il N’ Y A PLUS, en FRANCE , QUE DES ” PRIORITÉS ” !
Observons en toute honnêteté et franchise que le Pays a été géré depuis plus d’ un demi-siècle par des démagogues et des sycophantes qui avaient à chaque élection le CONSENTEMENT des électeurs bien endoctrinés dans leurs convictions ( de droite comme de gauche )
L’ affaire , arrivée à son terme ultime , se compliquant par le fait qu’ un Gouvernement formé de bric à brac avec les perdants des élections et ceux qui sont la cause même du désastre n’ est pas le plus à même de gérer … l’ Urgence, d’ autant que les maîtres-chanteurs y sont légion en commençant par Didier Migaud