Ils sont incapables de faire des économies !

Ils sont incapables de faire des économies !

Le budget en cours de discussion – et sur lequel le gouvernement Barnier est tombé – est nul et non avenu !
Tout le monde l’a bien compris dès son annonce, dès son origine, dès son premier jour.
Les responsables n’ont, sans doute, jamais compris l’économie d’un gouvernement réellement responsable, la saine gestion d’un vrai budget.
C’est ainsi que, d’emblée, M. Barnier s’est glorifié du nombre de ministères le plus élevé de la Ve République. Alors qu’il fallait réduire au maximum ces hémorragies inutiles, cette armée mexicaine (n’oublions pas leurs fameux et coûteux « conseillers » !). N’oublions surtout pas qu’un « bon ministre » est celui qui a le plus gros budget.
Le chef devait pourtant savoir que le problème actuel et fondamental, incontournable, était la dette liée à une dépense mortelle d’un État pléthorique.
Ignorait-il qu’il était nommé pour diminuer les dépenses ? Ce qu’en bon français, on appelle « faire des économies ». Hélas, depuis des décennies, nos « Grands Sorciers » n’ont jamais appris, compris, ni respecté les dogmes qui règnent dans l’économie réelle : ils confondent le mot « économies » avec « confiscations fiscales ». Nous prendraient-ils pour des Haïtiens, selon le mot célèbre et récent du Président ?
C’est ainsi que le projet de budget que proposait cette équipe de nuls était comme les précédents : augmentation des taxes, des impôts et des prélèvements.
Et ce, tous azimuts – y compris vers les entreprises qui ne sont déjà plus concurrentes face à l’étranger !
Le tout, sans aucune logique de succès sur ces déficits. Sans aucune chance de réussir à redresser la France, à relancer tout ce qui pourrait améliorer l’état financier de notre pays, qui va donc s’appauvrir encore plus. S’enfoncer encore davantage dans le sous-développement, par de nouvelles fermetures d’entreprises.
M. Barnier avait une certitude absolue : c’était lui le « Gradé ». C’était lui qui détenait le pouvoir. Le savoir. Donc la vérité ! Interrogé sur les conséquences, il prédisait la catastrophe si on ne l’écoutait pas. Les menaces si on le censurait. Il n’avait pas compris que Nous, Peuple de France, n’avons plus rien de plus à perdre ! Les menaces, c’est bien. Les actes efficaces, ce serait tellement mieux.
Trop, c’est trop : les Français finiront par se réveiller. Mais, demain sera trop tard !

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