Ils veulent tous quitter X…
Depuis quelques mois, les médias dominants et les politiciens de gauche surjouent le rôle de la vertu outragée et annoncent à grand renfort de trompette qu’ils quittent Twitter.
Officiellement, parce que le réseau social racheté par Elon Musk serait désormais un repaire de « conspirationnistes » répandant moult « fake news ».
Le premier mouvement du simple utilisateur est de se dire : Bon débarras !
Après tout, ces gens pérorent si bruyamment partout qu’un média important dans lequel on ne serait pas assommé par les commissaires politiques du NFP ou par les experts autoproclamés qui se sont trompés sur tout depuis 50 ans est un manque tout à fait supportable.
Le deuxième mouvement est de se dire qu’ils doivent être vraiment peu sûrs de leur bon droit pour avoir si peur du débat.
On peut aussi remarquer que bien des « fake news », dénoncées avec ardeur, se sont révélées vraies quelques mois plus tard. C’est notamment le cas du scandale des viols de masse de jeunes Anglaises par des Pakistanais dont la simple évocation faisait de vous jusqu’à la semaine dernière un « raciste » et un « complotiste » – mais qui devait être bien réel puisque le ministre britannique de l’Intérieur vient (enfin !) d’annoncer une nouvelle enquête.
Encore une victoire d’Elon Musk, soit dit en passant !
Mais le plus drôle dans ces départs tonitruants, c’est que ce sont souvent de faux départs ou bien brodant sur le thème : « Retenez-moi ou je fais un malheur » (pardon, « Retenez-moi ou je quitte X »).
Ainsi Sandrine Rousseau a-t-elle déjà publié au moins deux tweets en janvier pour annoncer son intention de partir, mais demeure active sur le réseau social maudit !
C’est qu’il en coûte à ces braves gens de perdre l’audience gigantesque des réseaux sociaux (d’autant que Facebook semble disposé à rejoindre X dans son refus de la censure).
Alors que, jusqu’à présent, les gauchistes étaient ultra-majoritaires dans les médias, ils découvrent avec douleur des médias où ils ne sont plus seuls et cela les perturbe. Comme les perturbe le refus de plus en plus net de la censure par les géants du numérique.
Une nouvelle preuve que la gauche en est restée à la vision bolchevique de la « démocratie » (« Un parti au pouvoir, les autres en prison »).
Il faut avouer que son affolement fait plaisir à voir – même si nous sommes fort éloignés d’avoir simplement rétabli l’équilibre !
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