Immigration et dépenses publiques

Immigration et dépenses publiques

Confronté à une monstrueuse dette publique accumulée de façon irresponsable pendant des années, le nouveau gouvernement cherche péniblement à redresser la barre d’une France en déficit chronique.
Pour ce faire, il prévoit d’augmenter les impôts des plus riches et de certaines entreprises, pourtant déjà fortement lestées de charges et contraintes, mais également de gonfler les factures d’électricité et de gaz, tout en réduisant ou différant quelques dépenses (petite diminution du nombre de fonctionnaires, report de revalorisation des retraites, etc.).
Pas un mot ou presque pour diminuer le coût de l’immigration, surtout extra-européenne, qui grève les comptes de la Nation.
Pour se faire une idée, il suffit pourtant de considérer la part qu’elle représente dans les dépenses sociales : allocations de toutes sortes versées à des familles prolifiques avec regroupement de parentèle ; prise en charge de présumés mineurs isolés et d’un chômage plus élevé que celui des « natifs » ; aide médicale d’État, etc.
S’ajoutent à ces dépenses celles engagées pour répondre aux besoins supplémentaires en logements sociaux et autres équipements collectifs, celles relatives au fonctionnement des centres d’accueil des demandeurs d’asile, à celui des prisons où la part des détenus étrangers ou d’origine immigrée est importante ou à celui des centres de rétention administrative qui hébergent des personnes soumises à des OQTF d’ailleurs peu exécutées.
Se surajoutent les réparations des lourds dommages résultant d’émeutes récurrentes qui surviennent quand, par malheur, un « racisé » décède lors d’une intervention de police …
En tout état de cause, dans la perspective d’un usage rigoureux des ressources financières, il apparaît urgent de faire un audit exhaustif des coûts et incidences du déferlement migratoire.
En attendant les résultats d’une telle démarche et une mise en œuvre des dispositions qui s’avéreront nécessaires pour corriger la situation, ne pourrait-on pas décider d’un moratoire sur les entrées en France, avec un strict contrôle des frontières ?
Mesures à coupler avec la suppression des subventions aux associations facilitant les arrivées, tout en subordonnant les aides au développement des pays de départ à leur utilisation pour favoriser le maintien de leurs ressortissants sur leur sol et à l’acceptation du retour de ceux dont notre pays refuse l’installation.

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