Immigration et non-censure de LR

Immigration et non-censure de LR

Même si la pratique de la chasse à courre est plus confidentielle que celle du « foot », nombre de Français savent que le cri « taïaut » sert à avertir que l’animal vient de sortir du bois et pourraient trouver judicieux l’emploi du cri « Retaïaut » pour qualifier la sortie du bois inattendue du patron de LR qui, après avoir enchaîné durant une année les « paroles de fermeté sur l’immigration » et justifié sa participation au bloc central pour « éviter un gouvernement de gauche », vient de refuser de censurer une équipe vassalisée par le PS !

Les Français, à qui certains « journalistes » naïfs ou complices ont fait croire que le personnage allait renverser la table, obtiennent la confirmation de son interchangeabilité avec ses compères de la « droite classique » dans la soumission aux trois agents d’influence à l’origine de l’immigration incontrôlée.

D’abord, les fractions sans scrupule des patronats français dans lesquelles on se contrefiche des conditions administratives d’entrée des immigrés tout autant que de leur comportement et de leur coût une fois installés dans le pays : chaque immigré est d’abord un générateur de chiffre d’affaires ! Des 500 000 entrants annuels aucun n’est retrouvé mort dans nos rues : que leur alimentation, leurs soins, leur hébergement et leur accès progressif à un confort moyen proviennent d’une activité licite ou non ou de l’accumulation de droits et d’aides, l’important est que tout ce qu’ils consomment chez nous eût été difficile à leur faire acheter dans leurs pays d’origine s’ils y étaient restés. Puis viennent les produits dérivés : même si l’honnêteté commande de ne pas rattacher la délinquance à la totalité des masses immigrées ou « issues », c’est tout de même depuis que s’enchaînent le regroupement familial, le droit du sol, le droit à la différence mal compris et le droit d’asile dévoyé que le pays s’est couvert d’alarmes, de digicodes, de portiques et de caméras de surveillance : c’est du chiffre d’affaires ! Les milliards de la Politique de la Ville aussi avec de temps à autre une prime de fin d’année ou de vacances : un petit milliard de plus pour réparer ou remplacer tout ce qui a vu le passage de Kévin et Mattéo !

Deuxième soumission : alors que, pour multiplier les consommateurs, le patronat aurait pu suggérer à « ses » politiciens de favoriser la natalité française ont été prises durant 40 années des mesures contraires sous l’influence de certains milieux économiques mondialisés pour qui la submersion migratoire est un outil « pédagogique » : l’objectif est de formater le jugement d’une majorité de citoyens pour qu’il s’aligne sur celui de Miou-Miou et Thierry Lhermitte dans le film « La Totale » lorsque, trompés par l’environnement du 18e arrondissement où des terroristes les ont largués après leur avoir fait croire à un transfert au Moyen-Orient, ils demandent aux passants de la Place Clichy où se trouve l’ambassade de France

Lorsqu’une immersion forcée dans la submersion physique et audiovisuelle (séries et supports publicitaires saturés de « diversité ») amène le citoyen à ne plus savoir exactement dans quel pays il se trouve, l’inattention le conduit naturellement à douter de l’utilité des frontières d’abord et de la nation ensuite : il ne reste plus qu’un pas à faire pour trouver normale la création de multiples instances de gouvernance mondiale… sans comprendre que celles-ci ne servent qu’à pondre des normes destinées à optimiser les profits d’entreprises ayant une vision planétaire des marchés et non à améliorer le sort des citoyens.

En troisième lieu, vient le pacte de non-agression conclu entre les « partis de gouvernement » et les organisations d’extrême-gauche, périodiquement mobilisées soit pour terroriser le pays, soit pour pourrir les manifestations populaires, soit pour composer les mal nommés fronts « républicains ». Depuis que la submersion migratoire est devenue vitale pour l’extrême-gauche comme réservoir électoral de substitution et source de création illimitée d’associations aspiratoires de subventions, donner un coup d’arrêt à celle-ci équivaudrait à tenter d’arracher son os de la gueule d’un pitbull…

Après la trahison par les députés LR de leurs propres discours sur l’immigration et la reddition de leur « chef », enfin sorti du bois les mains en l’air, que ceux donc qui imagineraient encore Bruno Retailleau prêt à affronter simultanément le MEDEF, Davos et l’extrême-gauche française incitent celui-ci à en faire part au plus vite à un magazine anti-bourrage de crânes sérieux et à proposer à celui-ci de « courir le risque d’y être publié » !

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