Kamala, que vous avez de grandes dents !

Kamala, que vous avez de grandes dents !

Kamala, que vous avez de grandes dents !

C’est pour mieux vous tromper, idiots d’indépendants !  

Le parti dit « démocrate », qui devrait se nommer le parti néo-marxiste s’il était honnête, peut compter sur un socle indéfectible de 40% de l’électorat américain, quels que soient les candidats qu’il n’a pas honte de présenter. Même pour le poste politique le plus important du monde, n’importe quel âne bâté est systématiquement préféré au candidat républicain. Ce fut le cas avec Biden qui était déjà sénile en 2020 et cela se répète en 2024 avec le tandem le moins « glamour » qui fût : Kamala Harris-Timothy Walz.

Les deux sont au service de l’ultra-gauche américaine et aux ordres des décideurs de l’État profond qui ont jusqu’ici dirigé Biden puis l’ont à son tour évincé par un coup intérieur (on imagine les tractations douteuses avec les membres du syndicat du crime qu’est la famille Biden). Notons que Biden a disparu des radars et que Kamala se comporte comme si c’était elle le président sortant.

Depuis Obama, l’Amérique connaît un état de non-droit sidérant : les « démocrates » violent toutes les lois quand cela les arrange, y compris leurs lois internes.

Rappelons qu’Obama (idolâtré par la gauche occidentale mondialiste et qu’il serait hautement blasphématoire de critiquer) a jeté un sort funeste à la première puissance en 2008 : « transformer l’Amérique fondamentalement ». Comprendre : la détruire de l’intérieur en minant les institutions encore saines et en dévoyant les agences gouvernementales, et aussi de l’extérieur en pactisant avec ses ennemis. Soit de la trahison au plus haut niveau.

Ainsi, en plus d’être l’archétype du mâle beta, soumis devant les minorités sexuelles intolérantes, Walz est un agent du PCC et Kamala Harris s’appuie sur le lobby iranien, une centaine de personnes qui travaillent à la Maison Blanche.

Désormais acteur le plus influent dans le marécage de l’État profond, Obama est le soutien principal et vénéré de Kamala. Il tirera ses ficelles comme il a tiré celles de ce pauvre Joe. Hillary Clinton, qui avait été écartée à son profit en 2008, devait accomplir son 3e mandat en 2016. Il y eut des ratés dans ce beau plan et ce fut Joe Biden, encore plus corrompu qu’Hillary, qui accomplit la mission avec zèle à partir de 2020. Kamala doit maintenant accomplir le 4e mandat de la divinité, et pourquoi pas un 5e, jusqu’à ce que la situation soit irréversible et l’alternance impossible.

Pour réussir, il faut donc mentir à l’électorat et tricher aux élections.

Il n’est pas facile pour Kamala d’assumer à la fois le désastreux bilan Biden-Harris (chaos mondial avec guerres chaudes en cours, dette à 37 trillions de dollars, inflation, criminalité galopante, etc.) c’est-à-dire son bilan à elle aussi, et de se faire passer pour une candidate modérée avec un programme nouveau. Or, il lui faut séduire les quelque 10% d’indécis dits indépendants qui doivent, tout « indécis » qu’ils sont, « décider » de l’élection !

Ironie politique et mystère : comment être « indécis » devant un choix aussi net ? Le retour à l’Amérique traditionnelle, normale et prospère avec Trump ou la fuite en avant vers le monde dystopique du Great Reset avec la communiste Kamala au fou rire inquiétant. Fou-rire comme rire d’un fou ou d’une folle. Une folle qui se décrit « Guerrière de la Joie » (sic).

Ce trait mis à part, Kamala est un clone d’Hillary Clinton à plusieurs égards : elle n’est jamais qu’une autre grosse dame en tailleur-pantalon, une autre féministe de la pire espèce, c’est-à-dire qui hait la masculinité et voue un culte obsessionnel à l’avortement, une autre affabulatrice qui ment sur tout, y compris sur elle-même pour enjoliver son CV. Par exemple, elle se dit noire (alors qu’elle n’a qu’un quart de sang noir) car elle a absorbé tous les concepts woke, entre autres que l’Amérique est « systémiquement raciste » et doit « réparation » pour cela.

Un statut de double victime (femme et noire) est jugé intersectionnalité irrésistible par la gauche identitaire.

C’est aussi une autre femme corrompue : il n’est pas difficile de trouver tous les renseignements sur son parcours professionnel californien et son personnel de campagne a récemment laissé fuiter qu’elle pique carrément la moitié des largesses allouées par les donateurs rouges pour son train de vie personnel.

Il existe aussi maintes vidéos où on la voit énoncer ses intentions véritables mais aux rares audacieux qui lui demandent pourquoi elle a changé ses positions, elle passe outre et répond qu’elle a toujours les « mêmes valeurs », puis éclate de ce fou-rire cannibale qui est son signe distinctif. Cela met les gens mal à l’aise mais la dispense d’expliquer, croit-elle, ce qu’elle entend par « une économie d’opportunité » ou « faire respecter les droits reproductifs » des femmes. Derrière ces euphémismes, l’électeur clairvoyant voit pour ce qu’elle est cette fille d’immigrants privilégiés par la discrimination positive qui a absorbé et combiné le marxisme économique enseigné par son père et le marxisme culturel de son milieu. En 2020, elle a encouragé les violences des émeutiers contre les forces de police. Elle est responsable de l’immigration-invasion venant de 163 pays du Tiers-Monde et de Chine. Elle veut maintenant donner aux illégaux « le capital » (25 000 dollars) pour acheter un domicile, tout en annonçant des infractions fédérales au domicile de tous les propriétaires d’armes à feu.

Pas de riposte possible aux audaces d’une présidente Harris !

Cette femme démoniaque est un symbole de la classe politique mondiale qui redistribue l’argent confisqué aux contribuables pour en remplir ses poches d’abord et redistribuer le surplus aux groupes jugés méritants.

Inexplicablement, les propriétaires d’armes à feu et les évangélistes ne votent pas ou presque pas (16%).

Prions pour que Trump fasse le plein de ses voix afin de surmonter une autre gigantesque fraude et de faire taire à jamais le rire hystérique de Kamala.

Dernier livre paru : La Guerre culturelle. Editions de la Délivrance:

La guerre culturelle

 

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