Keir Starmer, le premier Premier ministre anti-anglais

Keir Starmer, le premier Premier ministre anti-anglais

Le marécage mondial s’est enrichi d’une nouvelle recrue de choix, Sir Keir Starmer, le travailliste modéré – comparé à l’épouvantable Corbyn, le Mélenchon anglais. Or, Sir Keir a dévoilé sa face cachée dès août à l’occasion du carnage de Southport (Angleterre du Nord) le 29 juillet : trois petites filles poignardées à mort par un « Gallois » d’origine rwandaise, intouchable car « mineur », bien qu’à quelques jours de ses 18 ans. La population blanche, pauvre, délaissée et méprisée par les pouvoirs publics (socialo-communistes du Labour Party ou pseudo-Conservateurs, à l’exception de Suella Braverman), est la plus exposée aux violences des immigrants légaux ou illégaux de cultures radicalement opposées à la nôtre.

En 2016, le Jay Report exposa dans le détail le scandale des réseaux de violeurs (essentiellement pakistanais) de 1997 à 2013, à Rotherdam et dans d’autres grandes villes du Nord : des très jeunes filles (11 à 16 ans) capturées et soumises à des viols collectifs et autres violences physiques, puis réduites en esclavage sexuel.

Le Telford Report de 2024 confirme : le total monte désormais à plusieurs milliers de jeunes filles presqu’exclusivement blanches, Anglaises de souche et socialement vulnérables (au contraire de jeunes filles très protégées comme la fille de Sir Keir, par exemple) et les perpétrateurs peuvent continuer leur activité criminelle en toute quiétude.

L’islamisation du Royaume-Uni est si avancée que 9 grandes villes anglaises, dont Londres, ont des maires musulmans. Dans plusieurs conurbations du Nord, la charia prévaut. Les hommes de tous âges qui abusent impunément de jeunes Anglaises s’abritent derrière leur « culture » qui incite à soumettre les femmes et filles non-musulmanes à la condition d’esclaves. Les brutes des quartiers où règne la loi islamique s’appuient sur les doctes déclarations d’intellectuels d’universités renommées au Moyen-Orient.

Le massacre de Southport a donc eu l’effet d’une overdose, la goutte de trop à force de torts subis et de frustrations refoulées. La population dédaignée s’est spontanément soulevée en manifestations-monstres mais paisibles. Et voilà où Sir Keir s’est singularisé, éructant sur tous les médias que sa priorité absolue en tant que Premier ministre était de « protéger les musulmans anglais de l’extrême droite, qu’il ne tolèrerait pas d’infraction à l’ordre public et qu’il allait lancer toute la force de la Loi (véritable de déclaration de guerre) contre les manifestants ». Sir Keir ne s’offusque pas des désordres causés par les manifestants violents pro-Hamas, ou les enragés du climat qui paralysent la circulation et les services. Jamais en Angleterre on n’avait vu un Premier ministre dhimmi, si vocalement soumis à l’Autre et si furieusement hostile à sa propre population.

Sir Keir illustre l’avenir pour nous, tel que les élites du marécage mondial l’ont conçu. Obama qui soutient Starmer (ils se sont beaucoup rencontrés avant sa victoire du 4 juillet), tout comme il soutient Kamala Harris, est en phase avec les élites de l’UE et celles de l’ONU. Ces gens-là n’ont qu’indifférence pour les victimes que leur criminel transfert forcé de populations du Sud vers le Nord entraîne. L’ex-conseiller d’Obama, David Axelrod, s’est même réjoui (vidéo vite disparue des réseaux sociaux) que les populations victimes des ouragans récents qui ont ravagé 7 Etats du sud-est seraient handicapées pour voter, car autant d’électeurs en moins pour Trump, tandis que les aides fédérales allaient aux illégaux, pas aux sinistrés.

Chez nous, la justice (également à deux vitesses, comme chez Starmer et Biden) protège les meurtriers de jeunes Françaises. Toute protestation du public est appelée par l’extrême-gauche « récupération politique raciste d’extrême droite ». Et l’on découvre que les vies des victimes ont une valeur proportionnelle à leur utilité ou nuisibilité pour l’idéologie dominante à l’oeuvre. Pour Lola ou Phiippine, recueillez-vous en silence « dans la dignité ». Pour un jeune cycliste, écologiquement vertueux, une manifestation monstre est justifiée.

Et nous qui pensions que toutes les vies étaient également précieuses !

Contre l’immigration incontrôlée, on ne peut ni ne veut rien faire. La loi européenne a préséance sur les lois des nations : les Européens se retrouvent piégés par des absurdités juridiques et, pour la majorité d’entre eux, sont privés de la souveraineté pour agir, par leur propre faute.

Sir Keir n’a que faire de la souveraineté britannique recouvrée grâce au Brexit. Sa priorité n° 1 à l’extérieur est son Brexit Reset, en conformité avec le Great Reset de Schwab et Malleret. On s’attend à un sabotage accéléré du Brexit auquel les pseudo-Conservateurs mondialistes se livraient déjà mais au ralenti.

“Dans le même temps” comme dirait Macron, Sir Keir, chef du Parti Travailliste, laisse faire ce qui s’avère une ingérence flagrante dans l’élection américaine du 5 novembre prochain : son parti engage une centaine de militants travaillistes (bénévoles mais tous leurs frais payés) à aller donner un coup de main au parti démocrate, l’ami américain en difficulté. En toute illégalité malgré tous les détails techniques malhonnêtement invoqués.

Sir Keir suit les pas de Trudeau, célèbre pour avoir maltraité sa population à plusieurs reprises, et s’avère parfaitement aligné sur les élites mondialistes des organisations internationales anti-Occident.

La gauche transnationale, mue par ses idéologies et ses intérêts particuliers, ne cache plus ses buts : enrichissement personnel, pouvoir et contrôle absolu. Ces gens sont sans coeur, sans empathie minimale derrière leurs slogans droit-de-l’hommistes. Ils sont l’ennemi de l’intérieur.

Pour défendre les populations soumises, les Américains ont Trump et une base solide, les Anglais ont Farage et Tommy Robinson. Ils sont méprisés par les élites au pouvoir comme de vulgaires parvenus populistes.

Mais à part ces hommes qui se battent, qui d’autre ?

La guerre culturelle

 

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