La Cour pénale internationale est une imposture !

La Cour pénale internationale est une imposture !

La Cour Pénale Internationale est une émanation de l’Organisation des Nations Unies. On peut donc toujours s’attendre au pire de sa part.
Lors de sa création, l’Organisation des Nations Unies comprenait une majorité de démocraties et une minorité de dictatures.
Depuis la décolonisation, au cours des années 1960, un changement radical s’est produit, et désormais, les démocraties sont très minoritaires au sein de l’Organisation, qui est très largement dominée par les dictatures, les tyrannies, les régimes totalitaires.
Les pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), qui compte 57 membres, y forment un bloc supérieur en nombre à celui des démocraties occidentales.
Le mouvement des pays non alignés, pays qui sont en fait alignés sur des positions résolument anti-occidentales, compte 120 pays, ce qui constitue une majorité très nette, et les pays de l’OCI en font tous partie.
En assemblée générale, les textes les plus délirants et les plus abjects, sont aisément et logiquement adoptés.
Les résolutions les plus néfastes sont, en général, bloquées au sein du Conseil de Sécurité par les États-Unis qui font partie de ses cinq membres permanents, disposent d’un droit de veto, et sont, dès lors, seuls à sauver l’honneur du monde occidental : la France et le Royaume-Uni, qui disposent aussi du droit de veto adoptent le plus souvent la position couchée de la carpette sur laquelle on peut s’essuyer les pieds, et sont prêts, à la différence des États-Unis, à laisser passer n’importe quoi.
L’UNESCO est elle-même une émanation de l’ONU, et est censée préserver l’héritage culturel de l’humanité, mais procède désormais à des falsifications qui sont particulièrement intenses lorsque, influence de l’islam, il s’agit de la culture juive et, dans les documents de l’UNESCO, les sites les plus sacrés du judaïsme reçoivent des appellations islamiques : le Mont du Temple est appelé Dôme du Rocher, le Kotel (mur des lamentations), mur d’al-Buraq, le Caveau des Patriarches, sanctuaire d’Ibrahim.
Le Conseil des droits de l’hom­me ne trouve depuis des années qu’un seul pays sur terre qui viole des droits de l’homme et ce pays est, bien sûr, Israël. Ne comptez pas sur le Conseil des droits de l’homme pour s’intéresser à ce qui se passe en Iran ou dans d’autres pays islamiques où ont cours des pratiques ignobles, non.
Les États-Unis ont quitté ce conseil ignoble sous Ronald Reagan, puis à nouveau sous Donald Trump. Ils y sont retournés sous la présidence de Joe Biden, car il faut toujours attendre le pire d’une présidence démocrate aux États-Unis.
La commission sur le désarmement a été présidée plusieurs fois par des pays qui se livrent au trafic d’armes.
Le GIEC est une excroissance stalinienne de l’ONU au sein de laquelle des « scientifiques » sont chargés de trouver que la terre se réchauffe et de faire des recommandations communistes : tout scientifique qui refuserait de trouver ce qu’il serait chargé de trouver ne pourrait rester membre du GIEC, qui fonctionne comme le Soviet Suprême en matière d’environnement.
La Cour Pénale Internationale est à l’avenant. Elle compte dans ses rangs l’Autorité Palestinienne, qui est une entité terroriste antisémite. Son procureur est un musulman britannique ayant lui-même des penchants antisémites. Il vient de décider d’émettre de mandats d’arrêt internationaux à l’encontre de Binyamin Netanyahou, Premier ministre d’Israël et de Yoav Gallant, ancien ministre de la Défense d’Israël.
Prendre ce genre de décisions, dans un moment où Israël doit se battre pour sa survie contre des ennemis ayant des buts génocidaires et voulant détruire Israël est moralement répugnant et montre que la Cour Pénale Internationale est une imposture à éliminer.
Tous les pays d’Europe en sont membres et devraient décider d’en sortir avec fracas et indignation. Seul Viktor Orban a dénoncé la décision, et il a ajouté qu’il invitait Binyamin Netanyahou pour une visite officielle en Hongrie. Les dirigeants d’Europe occidentale au pouvoir ont tous fait preuve d’une lâcheté complice. Les États-Unis qui n’ont jamais fait partie de cette Cour ont dénoncé la décision, et Donald Trump prendra dès janvier 2025 les sanctions qui s’imposent.

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