La France à la dérive
L’état de la France en ce début d’automne 2025 n’incite guère à l’optimisme.
D’un côté, une grande partie de la classe politique est déconnectée des réalités, recluse dans ses bulles idéologiques et partisanes, avec un arrogant Président de la République totalement inconséquent. Niant l’identité et la culture de notre pays, ce dernier exclut un réel contrôle de ses frontières, en voulant noyer la France dans la technocratique Union européenne et en laissant libre cours à une immigration invasive, souvent arabo-africaine et musulmane, refusant toute intégration, et économiquement ruineuse.
À l’inverse, depuis plus de trois ans, il défend avec acharnement les limites territoriales de l’Ukraine dans le conflit avec son voisin et ancien partenaire russo-soviétique, en soutenant militairement et financièrement sans lésiner le régime corrompu de Kiev aux relents cryptonazis, dans une démarche de suivisme des menées hégémonistes américaines et des manigances de l’OTAN.
Avec des engagements de plus en plus marqués (sans consultation des représentants de la Nation), de nature à nous entraîner dans une incontrôlable confrontation armée directe avec une Russie qui, contrairement à ses assertions, ne nous menaçait nullement.
Et voilà qu’à présent, dans une posture de soumission à l’islam conquérant et aux États qui, comme le Qatar, en sont les soutiens, notre irresponsable dirigeant en rajoute en décidant, toujours de son propre chef, de reconnaître un virtuel État de Palestine au nom de la France.
Ceci, alors que le Hamas terroriste, à l’origine de la situation à Gaza et qui détient toujours des otages, n’a pour l’heure pu être éradiqué malgré les durs combats conduits par Israël.
De l’autre côté, on trouve une masse d’administrés incapables, faute d’une instruction suffisamment éclairée et d’informations fiables et raisonnées, de comprendre et accepter les mesures qui s’imposent pour contrecarrer la chute qui s’annonce.
Les réclamations et exigences de nombre d’entre eux, réduits à l’état de consommateurs parfois décérébrés par des publicités abêtissantes et intrusives, ne concernent en effet que la garantie de leur pouvoir d’achat avec la reprise concomitante de la ritournelle : « Il faut faire payer les riches » – au cours de manifestations souvent émaillées de violences et destructions inadmissibles.
Qui se lèvera pour affirmer clairement la nécessité d’une mise en œuvre rapide et vigoureuse des dispositions indispensables pour réguler l’immigration, réduire la monstrueuse dette publique, redresser une industrie et une agriculture mal en point, réformer le système éducatif et celui de la santé tous deux à la dérive et assurer sans faiblesse la sécurité de tous au quotidien ?
La priorité pour tout citoyen responsable ne devrait-elle pas être de travailler avec des dirigeants judicieusement choisis, à la pérennisation de la Nation française et de sa civilisation ?
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