La gauche américaine plus mauvaise que jamais
Chez nous, il n’y en a que pour la gauche. On voit les chefs marxistes de tous pelages interrogés avec déférence par les médias. Toutes les gauches (et on peut y inclure le RN pour son programme économique) se sont unies pour congédier Barnier, pourtant étatiste, européiste et écologiste à souhait et qui a présenté un budget de gauche : hausses d’impôts massives sans réduction des gaspillages de l’Etat, dont la fraude sociale et les subventions aux ONG. Pour remplacer l’homme de la fausse droite, Macron a donc appelé Bayrou, l’homme politique le moins sexy du monde, qui se dit centriste, donc gauche modérée. Notons qu’après les Premiers ministres en culotte courte, Macron se tourne vers des seniors – celui-ci un has been plus qu’usé et qui ne suffira évidemment pas, de sorte que Macron devra sous peu concéder encore plus à la gauche.
Nous n’avons ni vrai parti de droite, ni vrai candidat de droite (aucun ne veut la fin de l’UE), pas de Trump français et pas non plus d’Elon et Vivek français pour dégraisser nos bureaucraties.
De l’autre côté de l’Atlantique, la gauche américaine est pour le moment battue, abattue et discréditée. Tombée en extase en 2008 devant l’imposteur Obama, cette gauche vicieuse (et toute la gauche internationale avec elle) a cru, et avec quelle arrogance, que la guerre culturelle était désormais gagnée, l’épisode 2016-2020 balayé grâce à l’élection volée de 2020 et au 3e mandat d’Obama accompli entre 2020-2024 par l’administration d’extrême gauche Biden-Harris pilotée par Obama et l’Etat profond.
Et voici que par le retour en force de Trump s’achève l’Ère Obama, soit seize années de destruction systématique : état de non-droit (état hors la loi), attaques contre la Constitution, politisation-militarisation des agences gouvernementales contre les dissidents et, nous apprend le rapport de l’organisme Open the Books, censure et déni du droit d’expression aux citoyens, financés par 267 millions de dollars de l’argent des contribuables : fabrication de narratifs délibérément mensongers pour les médias sociaux et les médias traditionnels sous prétexte de “remédier à la més-information, dés-information ou encore mal-information provenant des médias populistes et de surveiller le paysage médiatique”. Une censure d’Etat déguisée sous des vocables trompeurs, ce qu’a tenté d’imiter au sein de l’UE le risible Thierry Breton.
L’Ère Obama c’est aussi ce que 54% d’électeurs viennent de rejeter avec horreur : la folie woke néo-marxiste et ses 4 piliers : immigration-importation du Quart Monde ; racialisation obsessionnelle ; sexualisation outrancière (cela sur tous les sujets dans toutes les institutions) ; enfin catastrophisme climatique (or, seulement 7% des électeurs américains ont cité le climat comme leur préoccupation dominante). Quel contraste avec l’UE ! Obama, qui rêvait de détruire l’Amérique et la Constitution en profondeur, est donc arrivé au bout de son imposture et il le prend très mal. On l’a vu amer, hargneux, mauvais (le vrai Obama) tempêter contre la sottise des électeurs, tous des racistes, sexistes… Les Américains refusent enfin de se laisser intimider plus longtemps par les tyranneaux woke et le bon sens est de retour. La gauche voit le contrôle lui échapper. Certains se tournent vers des “évasions de la réalité” (slogan publicitaire pour des croisières de quatre ans autour du monde…). Des employés fédéraux se réfugient dans des séances de thérapie contre la dépression (évidemment aux frais des contribuables).
D’autres plus vicieux s’organisent.
Les coupables de haute trahison (militaires et civils impliqués dans la débâcle d’Afghanistan, les généraux Milley, Austin… et nombre d’ agents du lobby iranien à la Maison Blanche), les auteurs et diffuseurs de mensonges médiatiques portraiturant Trump en Hitler ou en violeur, les agents du FBI et Représentants (dont Liz Cheney) impliqués dans le piège du 6 janvier 2021 et les emprisonnements arbitraires qui ont suivi, les concepteurs et exécutants du vol de l’élection de 2020, tous les hauts et moyens fonctionnaires qui ont abusé de leurs prérogatives, et tous ceux qui ont d’une manière ou d’une autre violé les lois et la Constitution dans un but politique, ceux-là espèrent, voire réclament de Biden qu’il les gracie par anticipation, meilleure preuve qu’ils sont coupables et sujets à enquêtes. Jamais on n’a vu tant de candidats à la grâce présidentielle.
Trump refuse de se venger et assure ne vouloir mettre personne en prison, comme les faux “démocrates” ont tenté de faire avec lui, mais le public attend quand même que les crimes et délits soient a minima exposés au grand jour et punis. De telle sorte que ces pratiques aberrantes ne se reproduisent plus contre qui que ce soit.
Enfin, les gouverneurs et maires “progressistes” (ultra-gauche) s’accrochent au statut illégal de leurs Etats et villes dits “sanctuaires”. Les gouverneurs Gavin Newsom (Californie) et J.B.Pritzker (Illinois, d’une famille immensément riche dont tous les membres militent pour le trans-sexualisme…) se montrent particulièrement énervés et n’excluent pas des émeutes multiples et violentes contre les Républicains, en janvier et après…
Non, la guerre culturelle n’est pas encore terminée.
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