La gauche est essentiellement totalitaire
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on ami David Horowitz, l’un des grands penseurs conservateurs américains, hélas disparu l’an dernier, disait qu’au sein de toute personne de gauche, il y a un être totalitaire qui cherche à s’exprimer. Chaque jour qui passe vient montrer que c’est exact.
Les idées de gauche sont partout en échec et ont provoqué des désastres innombrables et des millions de morts. Elles ont plongé des peuples entiers dans la misère. Elles survivent pourtant, très largement dans les universités et autres institutions d’enseignement et, chaque année, des millions de jeunes gens entrent sur le marché du travail le cerveau essoré, emplis de ressentiment et de détestation de la société dans laquelle ils vivent. Nombre d’entre eux réfléchissent ensuite et retrouvent la raison. Ce n’est pas le cas de tous, sans quoi les partis socialistes et les mouvements communistes et gauchistes auraient depuis longtemps cessé d’exister, et nombre de pays du monde se porteraient mieux.
Les électeurs dans un nombre croissant de pays démocratiques se détournent présentement de la gauche, alors elle triche, elle réprime et s’efforce d’éliminer ses opposants. Ce n’est pas le cas partout, sans quoi Giorgia Meloni et Javier Milei ne seraient pas au pouvoir ou seraient menacés de mort ou d’emprisonnement, mais c’est souvent le cas – bien trop souvent.
C’est le cas aux États-Unis et, si Donald Trump est au pouvoir, c’est après avoir réussi à surmonter les persécutions judiciaires infondées que la gauche américaine lui a fait subir pendant les années Biden, après avoir échappé à deux tentatives d’assassinats et après avoir subi des jets de haine incessants et des diffamations multiples qui se poursuivent jusqu’à ce jour.
L’assassinat de Charlie Kirk est venu s’ajouter et résulte de l’ignominie que la gauche américaine fait peser sur tous les conservateurs, en montrant qu’elle est prête à tout, y compris aux pires moyens antidémocratiques pour revenir au pouvoir.
C’est le cas au Brésil où Luis Inacio Lula da Silva, un gauchiste sectaire et profondément corrompu, est revenu frauduleusement au pouvoir et vient de faire condamner arbitrairement à une peine qui équivaut à une peine de mort (27 ans de prison pour un homme de 70 ans équivalent à une peine de mort) un conservateur ami des puissances occidentales, Jair Bolsonaro, sous le prétexte grotesque et ignoble d’une tentative de coup d’État inexistante, au terme d’un procès de type stalinien.
C’est le cas en Israël où Binyamin Netanyahou subit un harcèlement judiciaire incessant sous des motifs absolument fallacieux, alors que le pays reste en danger. C’est le cas dans l’essentiel de l’Europe où la liberté de parole est de plus en plus menacée, où, en Allemagne et au Royaume-Uni, des gens sont jetés en prison pour avoir tenu des propos que le gouvernement réprouve et où, dans des pays tels que la France, on peut décider de fermer une chaîne de télévision parce que son contenu déplaît au président et on peut aussi fermer les comptes en banque d’une autre chaîne de télévision, voire ceux de journalistes et de commentateurs qui tiennent des propos que le président voudrait voir disparaître : c’est arrivé au journaliste Éric Tegnér, c’est arrivé aussi à l’économiste Marc Touati.
S’ajoutent en Europe les diverses manœuvres et subterfuges utilisés pour que les partis de droite nationale et souverainiste n’arrivent pas au pouvoir et, parmi ces manœuvres et subterfuges, il peut y avoir le recours à une justice aux ordres : celle mise en œuvre contre Marine Le Pen, par exemple.
S’ajoutent aussi les décisions prises au niveau de la Commission européenne pour affaiblir les réseaux sociaux sur lesquels la parole est libre ou les pousser à la censure.
Il y a eu des totalitarismes qui perpétraient des meurtres de masse et régissaient des pays entiers par la terreur, l’emprisonnement, la torture et la peur. Ils ont quasiment tous disparu aujourd’hui (il reste la Corée du Nord, la Chine, Cuba). Il y a aussi ce que fait la gauche aujourd’hui : des actions insidieuses et liberticides, des mesures arbitraires asphyxiant la liberté de choisir et de penser qui montrent que la tentation totalitaire de la gauche n’est jamais loin et continue à laisser planer son ombre délétère.
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