La haine anti-Trump et ses conséquences
Depuis que Donald Trump s’est présenté à l’élection présidentielle américaine pour la première fois, il y a un peu plus de dix ans, le 16 juin 2015, la haine de tous les médias de gauche de la planète (en France, la haine de tous les médias) s’est abattue sur lui.
Il n’a remporté l’élection que seize mois plus tard et n’avait pas encore agi, mais il était conservateur, et il était obligatoire de le décrire comme quelqu’un de stupide et détestable, quoi qu’il dise et quoi qu’il fasse. Ensuite, cela n’a pas cessé.
Les accusations de collusion avec la Russie portées contre lui au cours de l’été 2016, et qui, à l’évidence, n’avaient aucun fondement, ont été disséminées comme si elles étaient la vérité pure, y compris lorsqu’elles avaient des dimensions obscènes et dégradantes.
Le harcèlement constant contre lui tout au long de son premier mandat a été décrit comme légitime dès lors qu’il était, disaient les salisseurs professionnels, un monstre.
Les deux procédures de destitution menées contre lui étaient illégales et contraires à la Constitution des États-Unis. Aucun des salisseurs professionnels ne l’a dit.
Il était flagrant que l’élection présidentielle de novembre 2020 était une élection frelatée, et j’ai donné tous les éléments qui le montraient. Il était tout aussi flagrant les incidents du 6 janvier 2021 étaient des incidents mineurs et en aucun cas une tentative de renversement des institutions américaines fomentée par Trump, et j’ai donné là encore tous les éléments qui le montraient. Les salisseurs professionnels ont présenté l’élection de novembre 2020 comme impeccable et les incidents du 6 janvier 2021 comme extrêmement grave.
Les discours de la gauche américaine ont été reçus comme s’ils étaient une parole divine.
Rien de ce que Trump a accompli au cours de son premier mandat n’a été porté à son actif, non strictement rien, pas même les accords d’Abraham.
La tentative protéiforme de la gauche américaine destinée à empêcher Trump de se présenter à l’élection présidentielle de 2020, de le faire jeter en prison a été décrite comme pleinement légitime, alors que tous les motifs de mise en examen énoncés par des procureurs gauchistes à l’esprit totalitaire étaient, de manière flagrante là encore, basés sur des faux et sur de graves abus de droit.
Le fait que l’incitation à la haine contre lui a été portée jusqu’au degré où deux tentatives de meurtre ont eu lieu, dont l’une a failli lui coûter la vie, a, bien sûr, été laissé de côté, et les tentatives de meurtre ont vite été traitées comme des incidents mineurs.
Le fait que Trump ait été réélu a provoqué chez les salisseurs professionnels un moment de stupeur qui les a pétrifiés quelques semaines mais, dès que Trump a été à nouveau au pouvoir, l’action de salissure a repris à plein régime.
En décrire toutes les dimensions serait très long : chaque propos, chaque décision de Donald Trump subit une description malveillante et hideusement déformée. Tout cela n’a strictement aucun impact sur les électeurs américains : ceux qui ont voté pour Trump savent exactement pourquoi ils ont voté et sont satisfaits de la présidence Trump. La cote de popularité de Trump aux États-Unis est aujourd’hui plus haute qu’elle l’était au moment où il a été élu et qu’au moment où il est devenu président.
Ceux qui n’ont pas voté Trump et qui sont fermement démocrates adhèrent aux campagnes de haine anti-Trump, car les médias de gauche américain en sont les vecteurs, tout comme les politiciens démocrates.
Ceux qui pensent s’informer en lisant, écoutant ou regardant les médias de gauche ailleurs dans le monde, et ceux qui pensent s’informer en lisant, écoutant ou regardant les médias français sont persuadés que Trump est un président effroyable et dangereux et que les Américains qui ont voté Trump sont eux-mêmes des abrutis effroyables et dangereux. Ce n’est en soi pas très grave. Cela leur donne, hélas, une vision totalement déformée de ce que sont les États-Unis, de ce qu’est le peuple américain, de ce que Trump fait à l’échelle du monde. Et cela montre qu’une part très importante de ceux qui exercent le métier de journaliste n’informent pas, se sont transformés en vils propagandistes et n’ont ni scrupules ni valeurs éthiques.
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