La sinistre réalité du racisme anti-blanc
Voici quelques semaines, la parution d’un livre de journalistes à propos du meurtre de Crépol a remis le sujet sur la table.
À en croire les journalistes, il n’y aurait pas de preuve du racisme anti-blanc dans cet horrible assassinat – quand bien même les gendarmes auraient recueilli plusieurs témoignages permettant de penser que les assassins avaient bel et bien l’intention de « planter du Blanc ».
Mais le racisme anti-blanc est devenu purement et simplement impensable. Et c’est tout l’intérêt de l’enquête de François Bousquet. Le directeur de la rédaction de la revue « Éléments » a ainsi interrogé une quarantaine de personnes qui ont été confrontées au racisme anti-blanc. D’où ce livre « édifiant ».
Mais, d’abord, l’auteur se penche, dans une première partie intitulée « Le chic gauchiste », sur ce qui rend le racisme anti-blanc impensable pour les anti-racistes patentés (au point que l’AGRIF est sans doute la seule association anti-raciste à attaquer ces faits devant les tribunaux).
Le gauchisme supposant que la France est coupable de « racisme systémique » ne voit plus dans le racisme, selon la grille marxiste, qu’un oppresseur (forcément occidental) et un opprimé (forcément allogène) : puisque le racisme est un « système », il ne saurait être question de regarder les rapports entre individus, cela n’a tout simplement pas de sens.
Par conséquent, les « petits Blancs » sont deux fois agressés : une première fois par les étrangers qui les traitent de « sales blancs » et une deuxième fois par les « grands Blancs » (selon la jolie expression de Bousquet) qui leur expliquent que parler de racisme anti-blanc est une forme subtile de racisme et une tentative pour échapper à la « culpabilité blanche ».
Pourtant, la deuxième partie (« Le choc raciste ») montre clairement – à ceux, du moins, qui ne s’aveuglent pas volontairement – que le racisme anti-blanc existe bel et bien – et qu’il est d’une violence terrible.
On ne peut lire ces témoignages sans compatir avec ces malheureux qui n’ont pas pu fuir les territoires abandonnés au chaos.
On lira en particulier avec effarement les pages sur la culture du viol ou sur le racisme anti-blanc en milieu scolaire. Il est d’ailleurs remarquable que la majorité des témoins parlent sous couvert d’anonymat car, dans la France contemporaine, on peut mettre en danger sa vie et celle de ses proches pour avoir dénoncé l’évidence.
Mais comment croire sérieusement à la simple possibilité d’une intégration quand on lit le témoignage de Charlotte, enseignante qui raconte que, dans le lycée Newton à Clichy, où elle a exercé, 95 % des élèves étaient immigrés ou d’origine immigrée et que, lorsqu’elle expliqua à ses élèves qu’elle aimait la France, elle suscita l’hilarité tant la chose semblait incongrue ?
Comment ne pas en vouloir aux politiciens qui ont créé de toutes pièces cette situation calamiteuse lorsque l’on constate que les jeunes Français de souche n’ont le choix qu’entre la fuite des quartiers occupés, la « racaillisation », ou rendre coup pour coup aux bandes qui les agressent ?
Oui, le racisme anti-blanc est une réalité – et c’est une réalité qui doit tout à lâcheté des politiciens, parfois même à leur détestation du peuple français d’origine !
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