Le déclin de l’Occident et sa dépendance voulue
Comme de nombreux Français, j’ai négligé d’écouter les vœux de celui qui fut élu président (par défaut ?).
La raison en est très simple : Lui seul détient la Vérité – et le Verbe ! Il sera donc définitivement et totalement inapte à changer quoi que ce soit dans notre Nation qui déraille et qu’il veut euthanasier : ne perdons donc plus notre temps à l’honorer de notre attention.
Voici un des facteurs d’horripilation, pour ne pas utiliser le mot « angoisse », que je juge gravement sous-estimé de la part des commentateurs, et surtout de ces politiciens de plus en plus éloignés de la réalité de ce que vivent les peuples : notre monde occidental semble avancer fermement et impitoyablement vers sa fin avec une vitesse croissante !
Il suffit de mesurer l’accroissement considérable, et rapide, des dépendances que le système dit « démocratique » occidental tente de nous imposer.
Ceci est incontestable pour les dictatures de type traditionnel (Russie et affiliés). Ça l’est surtout pour les dictatures religieuses qui sont de plus en plus extrémistes et sanglantes (inutile de préciser) qui vont se multipliant.
Il est angoissant de constater qu’à la fin du siècle dernier, il n’y en avait qu’une : l’Iran. Aujourd’hui, il doit y en avoir plus de dix. Toutes basées sur une même religion de plus en plus expansionniste – avec un but avoué ouvertement de « califat mondial ».
Il en est même qui s’intitulent, sans honte ni rire, démocraties. Et nos vraies démocraties ne se réveillent pas. Bien pire, elles vont à marche forcée vers tous ces « paradis démocratiques » !
L’heure est venue de rechercher un mode de vie publique qui s’affranchirait de ce mode de « politique » sans contrôle, sans but ni vision. Citons à titre d’exemples :
– Il faut imposer une limitation du nombre de ministères et autres secrétariats d’État (nous en sommes rendus à une quarantaine, quand d’autres pays, mieux gérés, n’en comptent qu’une dizaine). L’Argentine est passée de 18 (tout ça !) à 8 grâce à Javier Milei. Ne pouvons-nous pas faire aussi bien ?
– Une division sévère du nombre des fonctionnaires (en commençant par les plus haut placés, véritable armée mexicaine inefficace et onéreuse) s’impose également.
– Cela implique qu’il faut exiger un nouveau type de recrutement des gouvernants (devenus de véritables amateurs, dilettantes, voire bricoleurs fantaisistes – et toujours piètres communicants, puisque toujours menteurs).
Afin d’obtenir cette nouvelle lignée d’« élites », il faut évidemment leur offrir moins d’avantages matériels.
Parmi ces avantages, le plus gros concerne leurs salaires, indemnités, retraites (un rapide calcul montre que l’addition de leurs indemnités et avantages sociaux – dont leur retraite après deux mandats ! – leur permet de gagner plus qu’un citoyen qui a créé son entreprise avec une dizaine de salariés, mais sans avoir pris les risques encourus par un entrepreneur privé !).
Toutefois, à côté de cet énorme avantage de rémunération, il ne faut pas oublier les avantages plus modestes (logement de fonction dans de véritables palaces, par exemple), ni les plus symboliques (voiture de fonction avec chauffeurs, et personnel domestique : un certain ancien président cumulait deux cuisiniers !).
– Et, bien sûr, il est essentiel de trouver le moyen de faire cesser cet « entre-soi », cette colonisation du Pouvoir par des castes liées à des « réseaux » devenus réellement de type mafieux.
La profession d’énarque doit être considérée, désormais, comme mise à l’index en tant que cinquième colonne, en tant que dynastie tyrannique !
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