Le FMI sera toujours mieux que LFI !
Permettez-moi de rebondir sur l’article de Claude Gourdon dans le n° 1464. Il y dit très clairement qu’il faut espérer une intervention rapide du FMI qui, seul, pourra nous imposer une solution contre notre faillite actuelle.
En effet, ce que souhaite une majorité de Français est simple : transmettre à nos enfants ce que nos parents nous ont donné en héritage. Vraiment tout.
Or, comment croire que des « élites » qui n’ont pas ce désir d’enfant puissent raisonner comme un Français « moyen » ? Emmanuel Macron a eu l’immense mérite, en les choisissant, de nous prouver que peu leur chaut la destinée de la France après eux.
Comment ces « aristocrates » de la plus égoïste des espèces peuvent-ils nous comprendre, donc nous « représenter », ou décider du bien de toute notre Nation ?
Par exemple, comment accepter qu’un ex-Premier ministre explique à son successeur que le respect des acquis sociétaux (avortement, droits des LGBTQ, etc.) est la priorité absolue, alors que l’insécurité, l’éducation, la santé sont au plus haut dans l’esprit de nos concitoyens ?
TOUS leurs actes, discours et comportements prouvent que la faillite de NOTRE France est totale.
Nous sommes en train de léguer à nos enfants une ruine et une soumission.
Il faut en sortir et le plus tôt sera le mieux. La Grèce nous prouve que le FMI est LA solution. Plus nous traînerons, plus douloureuse sera la thérapeutique !
En quelques années, ce FMI a su imposer à l’ensemble d’un peuple des solutions efficaces. Certes difficiles, mais salutaires. Si ce gouvernement en place ne prouve pas dans les jours à venir une volonté de changement radical, mieux vaut se « soumettre » au FMI plutôt qu’à l’intifada et aux frères musulmans grâce à LFI !
La « guéguerre » préméditée par l’équipe du président lors du choix des ministres de l’Intérieur et de la Justice (entre autres) prouve bien la perversité de ces malfaisants. Sortons-les très vite ! Et bienvenue au FMI, puisque ce président est allé dire à l’étranger qu’il ne fera pas d’autre dissolution avant la fin de son quinquennat. Il a ainsi signé notre effondrement. C’est ça qui restera de lui comme souvenir.
Ce faisant, nous gagnerons trois ans, environ cent milliards d’euros, et surtout une nouvelle incarnation et la fierté d’avoir recouvré la grandeur de notre France éternelle.
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