Les désastres de la mondialisation
A
nnée après année, les esprits lucides nous mettent en garde contre les inconvénients du mondialisme, cette doctrine qui vise à l’unité politique du monde, et surtout contre la « mondialisation », phénomène qui concerne aussi bien la sphère économique que financière.
Et cette mondialisation ne date pas d’hier. Depuis des siècles, les échanges de marchandises ont aussi précédé les grandes découvertes de nouveaux continents, favorisant l’essor de l’industrialisation en Europe notamment. Et cette industrialisation a bien sûr créé des besoins impératifs pour d’innombrables consommateurs, objectifs des sociétés multinationales visant un marché mondial unifié – la globalisation – que nous connaissons par l’existence des MacDo, Kentuky Fried Chicken, Burger King ou encore Coca-Cola, entre autres.
Au fil des ans, des groupes de pression se sont constitués dans les secteurs qu’ils considéraient comme sources de bénéfices extraordinaires, grâce au développement socio-économique des populations les moins favorisées et à l’appétit des nations occidentales.
C’est pourquoi, au cours des 50 dernières années, nous avons vécu la marchandisation du sport, de la culture, des services publics et du corps humain, marchandisation qui a transformé les citoyens en clients et consommateurs.
Parce que la diffusion d’internet sur la planète entière a permis l’accès immédiat aux informations les plus diverses, sans aucun contrôle et proposées au libre arbitre de chacun.
Cela conduit bien évidemment à tous les excès et aux dérives les plus variées pour exploiter la crédulité des futurs consommateurs, pour le grand bonheur des « lobbies » qui engrangent des profits colossaux.
On peut le regretter ou s’en réjouir, mais les individus sont aussi les responsables, car ils peuvent refuser les offres qu’on leur propose, au lieu de se précipiter sur des achats « compulsifs ».
Une grande partie des centaines de milliers de tonnes de déchets répandues dans le monde provient essentiellement du gaspillage et de la surconsommation des clients qui se lassent rapidement de leurs achats avant même qu’ils ne soient usés.
Les récents exemples des ventes « en ligne » des marques Shein et Temu sont la preuve de la nocivité des produits de mauvaise qualité à des prix bradés, qui nous sont expédiés de pays lointains avec un bilan carbone désastreux. Silence radio de la part des écologistes…
Depuis fort longtemps, on nous a vanté les bienfaits du « vivre ensemble ». Mais la réalité, c’est que l’Europe est une terre de beffrois et de cathédrales et non de minarets et de mosquées.
Comme la grande majorité des habitants de notre continent, je suis l’héritier d’une civilisation européenne et de culture gréco-romaine. À ce titre, j’accepte donc des immigrés de pays étrangers qui s’assimilent et s’intègrent harmonieusement à nos us et coutumes, en respectant nos règlements et nos lois. Par contre, je m’oppose avec force aux « communautés » qui imposent le voile, le halal et les babouches dans nos cités, avec la complicité de politiciens clientélistes et de financiers cosmopolites qui, avec le parrainage des bureaucrates de Bruxelles, se servent de l’idéologie droit-de-l’hommiste, pour nous culpabiliser au prétexte de « racisme », grâce à l’immobilisme des populations dont les individus sont hypnotisés par les campagnes des médias favorisent l’implantation de l’islam dans toutes les contrées.
Il est grand temps de s’opposer par tous les moyens à la mafia du mondialisme qui, loin du libre-échange équilibré, nous a conduits à une dépendance économique sacrifiant nos industries et nous a menés vers le chaos généralisé. Cette même mafia qui met en place la surveillance et le contrôle permanent des personnes par l’intelligence artificielle et la reconnaissance faciale pour un « monde meilleur » : Big Brother vous regarde…
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