Les Lyssenko français

Le réchauffement climatique peut être mesuré localement. Globalement sur terre, il dépend de nombreux paramètres. Il faut bien admettre que l’atmosphère se réchauffe. L’incertitude repose sur son caractère anthropique dominant. Pallier les inconvénients est du domaine du possible. Les prévenir peut relever d’une utopie coûteuse. Il en est ainsi au niveau des déplacements en voiture. L’essence a été, dans le passé, en grande partie remplacée par le gazole plus énergétique et, pour éviter la pollution due aux impuretés, des pots catalytiques ont été mis en place. Les moteurs thermiques n’ont cessé de diminuer leur consommation kilométrique et d’augmenter leur durabilité. Toutes mes relations ayant fait l’acquisition d’une voiture hybride se plaignent, d’un coût d’entretien (pannes) beaucoup plus élevé dû à la complexité de la mécanique, et surtout de factures en carburant plus importantes résultant de l’usage de l’essence à la place du diesel et du poids des batteries. Les commerciaux vous diront le contraire, c’est évidemment leur intérêt. S’agissant des voitures électriques à 100 % ou des hybrides rechargeables, les inconvénients (à l’exception des bonus écologiques, à l’achat, de la vignette « Crit air » et du silence de fonctionnement) sont pires encore. Le pouvoir d’achat a considérablement chuté avec les sanctions boomerangs contre la Russie. Il continuera à baisser avec l’économie de guerre déployée contre un pays ami malheureusement dévoyé en 1917 par le marxisme dont nos journalistes télévisuels sont nostalgiques. L’écologisme a l’allure de l’idéologie totalitaire communiste. Dès 1968, le ver est entré dans le fruit. Aucun de nos chefs d’État n’a réussi à l’éradiquer. Aujourd’hui, la contamination est totale. Le désastre socialiste vert est une ruine pouvant conduire à une guerre nucléaire.