Lettre ouverte à Michel Barnier

Lettre ouverte à Michel Barnier

Monsieur le Premier ministre,
En tant que citoyen de 82 ans, je vous remercie d’avoir eu l’immense courage d’accepter, en prenant ce poste important, le risque de relever la France de son ornière entamée depuis plus de quarante années sombres. Mon âge m’autorise à témoigner de l’étendue des dégâts que j’ai vu s’installer de plus en plus vite et de plus en plus fortement avec chaque nouveau « gouvernement ».
Les années se succédant, il a été de plus en plus évident et angoissant que nous assistions à une évolution fatale puisque la logique d’envahissement prônée par les Frères musulmans avait pour but ultime d’apporter la chute de la République et de la France éternelle.
La France n’est plus à son apogée, et l’Europe nous a condamnés à camoufler, atténuer les dangers de cette immigration. Les élites auto-proclamées, issues pour leur grande majorité d’une caste estudiantine brillant par son manque de pragmatisme et son arrogance, avaient trouvé dans ce projet un paradis pour leurs intérêts personnels …
Notre Nation est en chute libre. Et nos élus actuels sont des bouffons.
Notre Histoire nous enseigne un fait fondamental : pour que notre Nation retrouve son élan vital, il faut et il suffit d’un chef ! Mais celui-ci doit imposer l’autorité d’un Pouvoir efficace et juste (finie cette impression d’un État dur avec les faibles et faible avec les puissants comme depuis des décennies !). Alors seulement, il pourra rétablir notre sauvegarde grâce à une sécurité retrouvée, annonçant le retour des libertés, et donc de la démocratie.
Nous aurons donc rapidement la réponse concernant votre succès (ou votre échec).
Monsieur le Premier ministre, nous attendons de vous l’autorité pour parvenir à ce que la France que nous ont léguée nos Pères puisse être transmise à nos enfants. Il ne servirait de rien qu’elle soit amputée de sa culture et de sa douceur de vivre. Il lui faut aussi reconquérir cette envie d’avenir brillant dans les sciences, la médecine et le savoir en général.
Je vous sais gré de vous atteler à une telle mission impossible : « Ils ne savaient pas que c’était impossible. C’est pour cela qu’ils l’ont fait ! »

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