L’obsession anti-Trump de la presse française

Il est quasiment impossible d’aller sur le site d’un journal, d’un magazine, d’une station de radio ou d’une chaîne de télévision français sans trouver un article hostile à Donald Trump.
C’est une véritable obsession. Et cette obsession est une importation directe de ce qu’on trouve dans les grands médias de gauche américains.
Un livre à scandale du militant démocrate américain Bob Woodward vient de sortir, qui tente de faire renaître l’idée délirante qui voudrait que Trump soit une sorte d’agent au service de Poutine et, huit ans après, le dossier « collusion avec la Russie » fabriqué pour la campagne d’Hillary Clinton semble en voie d’être réutilisé. Il était vide la première fois. Il l’est toujours, mais cela ne fait rien, et Bob Woodward va vendre des livres.
Un film répugnant et diffamatoire, « The Apprentice », est sorti salle, et les critiques français, faisant suite à leurs collègues de gauche américains, sont en extase : Trump est un monstre, clament-ils !
En parallèle, strictement rien n’est dit en France de la campagne de Kamala Harris, qui est en train de s’effondrer pour une raison précise. Kamala Harris est incompétente et nulle. Elle lit sans cesse le même discours sur des prompteurs.
Elle a longtemps refusé de donner des entretiens à des journalistes et, parce que les sondages montrent qu’elle va vers la défaite, elle multiplie maintenant les entretiens et offre des réponses ridicules.
La situation est si grave que Barack Obama tente de venir à la rescousse, et ses propos montrent sa face ignoble : plutôt que vanter les qualités, censées être extraordinaires, de Kamala Harris, il attaque Trump en se plaçant aux limites de la scatologie et en laissant entendre que Trump porte des couches pour recueillir ce que ses sphincters ne peuvent plus retenir. Quelle élévation d’esprit ! Quel raffinement ! Aucun commentateur ne critiquera Obama …
Trump a subi deux tentatives d’assassinat menées par des dépravés gauchistes qui ont imprégné leurs neurones malades des incitations à la haine anti-Trump sans cesse déversée. La vie de Trump est menacée, mais il n’en est plus question dans les médias français. 28 % des électeurs démocrates ont dit dans un sondage récent que, si Donald Trump était assassiné, les États-Unis se porteraient mieux, et ce chiffre est occulté en France.
Les données qui se dessinent peuvent laisser penser que, le 5 novembre prochain, sauf accident imprévisible, Trump sera réélu président. Et je m’attends, si c’est le cas, à voir des visages grimaçants sur les écrans de télévision français, et à entendre un redoublement des propos odieux. Je m’attends aussi, si c’est le cas, à des manifestations et à des émeutes aux États-Unis, et peut-être en France.
Trump a été président. Et les États-Unis ont connu, pendant quatre ans, l’une des périodes les plus fastes de leur histoire : croissance sans inflation, hausse du niveau de vie, absence de guerres impliquant l’armée américaine.
Il y a eu, certes, quelques semaines marquées par le Covid, et des émeutes gauchistes, mais Trump n’a été responsable ni de la pandémie, ni des émeutes.
Il y a eu des élections frauduleuses que les journalistes de gauche américains et français s’obstinent à présenter comme impeccables, puis les événements survenus au Capitole à Washington le 6 janvier 2021 : huit cents personnes sont entrées dans le bâtiment, invitées à le faire par les policiers présents, aucune d’elle n’était armée et n’avait d’intention violente, et tout indique que ces personnes ont été piégées aux fins que les démocrates puissent les désigner comme des « terroristes ».
Il y avait ce jour-là un million de personnes manifestant pacifiquement dans la ville. Il n’y a eu aucune « insurrection », non.
Salir Trump comme cela se fait sans cesse aux États-Unis et en France est répugnant, et porte la marque d’un esprit totalitaire qui plane en fait sur tout le monde occidental.
Trump dit qu’il faut sauver l’Amérique et sauver la démocratie. Il a raison. La gauche américaine s’efforce de détruire l’Amérique. Les médias de gauche américains contribuent à l’entreprise de destruction. Les médias français, à de très rares exceptions près, y contribuent également et sont, eux aussi, une menace pour la démocratie.