Macron et l’invasion de la France

Un quarteron de fourbes et renégats nous a trahis en nous « prouvant » qu’il fallait voter Macron en 2017. Ils déployèrent à l’époque deux arguments principaux : l’intelligence du candidat et sa connaissance de la finance.
Pour ce qui est de la finance, nul besoin de forcer notre talent !
Pour l’intelligence, un psychiatre italien nous avait, dès cette époque, fait remarquer que l’intelligence n’est pas suffisante. Il faut aussi un certain psychisme (excluant, par exemple, la perversité) pour faire un bon dirigeant démocrate.
Or, notre peuple a bien fini par comprendre, lui, que nous sommes la cible d’un envahisseur qui nous livre une guerre d’un genre nouveau : l’invasion lente mais méthodique. Pas Emmanuel Macron !
Hélas, nous avons des enfants et voudrions leur céder une France vivable. Pas lui !
Souvenons-nous que nous avions été prévenus par un dirigeant algérien que cette infiltration se ferait « grâce aux ventres des femmes ». Depuis au moins deux décennies, cette invasion est nettement plus armée (Bataclan, Nice et autres Merah). Puis les pillages. Et maintenant l’addition du couteau au bout de la main et des « réseaux » prêchant la torture et la mort. Sans oublier l’intifada sur Paris, valorisée au cours d’une manifestation pro-palestinienne !
Et que penser des infiltrations possibles – mais secrètes et si faciles ! – de terroristes, organisées par un gouvernement étranger qui haïrait la France ?
Le propre d’un gouvernant est de prévoir. Avez-vous l’intime conviction que le « Grand Chef » des « équipes gouvernementales » (quatre par an désormais !) ait un don quelconque pour prévoir que, dans dix ans seulement (voire moins), ses chers « assimilés » auront les moyens d’imposer leur charia, tout simplement grâce à leur nombre devenu suffisant ?
Et que, plus on attend, plus ce nombre augmente en raison de l’incompétence (pour ne pas dire la lâcheté ou la trahison) de ce « grand dirigeant » ?
Or ce dirigeant nous menace de rester en place jusqu’à la fin de son mandat. Il peut donc renverser l’Assemblée représentant notre peuple, tandis que nous, nous ne pourrions pas lui faire comprendre, d’abord gentiment, qu’il est temps qu’il aille planter ses « en même temps » ailleurs ?
Afin que l’avenir de NOS enfants et de NOTRE Patrie soit meilleur ?