Ne baissons pas les bras !

Ne baissons pas les bras !

Les élections législatives passées, j’entends plusieurs électeurs de la droite nationale évoquer le fait que, devant le comportement des parlementaires, de la droite dite « républicaine » à l’extrême gauche, à l’encontre du RN et des « ciottistes » qui les ont rejoints, ils s’abstiendraient désormais de voter, leurs voix n’étant pas considérées.
À ceux-là, je dis : les amis, observez :
2017 : 8 représentants RN à l’Assemblée ; 2022 : 89 députés RN ; 2024 : 126
(142 en incluant les députés d’Éric Ciotti). Il ne faut surtout pas lâcher. Nous avons le devoir de tenir et de continuer à voter puisque c’est la seule arme dont nous disposions pour essayer de sauver la France. L’espèce d’amalgame qui s’est créé chez les tenants de l’anti-France depuis le centre droit jusqu’à l’extrême gauche est là pour l’attester. Le début de panique qui les a assaillis devant l’éventualité de l’avènement d’une majorité patriote et nationale et le risque de perdre leur siège a poussé cette caste politicarde à procéder à des accords contre nature, quitte à les dénoncer, sitôt parvenus à leurs fins.
Ne baissons pas les bras et continuons à nous battre avec des bouts de papiers, tant qu’« on » nous en laisse les moyens.
Encore une chose à propos du mot « républicain » : ce terme, qui revient à satiété, n’est pas synonyme de démocratie. Pour preuve, il y a eu l’URSS (Union des républiques socialistes soviétiques) ; il y a la RPC (République populaire de Chine), la République islamique d’Iran, pour n’en citer que quelques-unes qui n’ont pas grand-chose à voir avec la démocratie ! Et quelles sont ces fameuses « valeurs républicaines » invoquées à l’occasion des discours, sans jamais les énumérer ?
Puisque nous sommes citoyens français, la France nous appartient et chaque citoyen doit être copropriétaire de sa Nation. Nous avons notre mot à dire sur les actions de nos élus. En Suisse, souvent citée pour sa démocratie exemplaire, les citoyens ont le droit d’intervenir dans la vie politique au moyen de « votations ».
Notre système politique est moribond et nous devrions prendre exemple
sur nos voisins helvètes. Le dernier mot doit revenir au peuple, quand bien même il ne vote pas « bien ». Or, appuyés par les médias aux ordres qui assènent à n’en plus finir un bourrage de crâne fait de mots-clés comme « extrême droite » ou « fascistes » que peu de monde saurait expliquer (à commencer par ceux qui les emploient !), les politicards conditionnent l’opinion pour être élus. Après les élections, la volonté populaire réelle, on s’en balance comme de sa première chemise et on fait sa « tambouille ». En fait, les « fachos » ne sont pas où « ils » veulent le faire croire.
Ne baissons pas les bras !

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