Opposants

Opposants

L’histoire nous a montré, de tout temps, comment un gouvernement ou un individu pouvaient se débarrasser d’un opposant au régime. Tous les moyens sont bons pour cela.
Je ne vais pas remonter trop loin dans les siècles passés, et je commencerai par la fin du XVIIIe siècle. Nous y trouvons Robespierre et la guillotine qui a fonctionné à plein.
Ensuite, au XXe siècle, Lénine et Staline ont développé le goulag. Il y eut aussi Hitler qui a créé les camps d’extermination, Mao qui envoyait ses opposants dans des camps de rééducation, et Pol Pot, au Cambodge, qui faisait cela à la machette.
En 2017, le PNF (Parquet National Financier) a obéi au pouvoir politique pour torpiller la candidature de François Fillon.
Plus près de nous, nous avons Ursula von der Leyen et Thierry Breton qui ont fait annuler le premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie, avant de faire mettre en prison le candidat « indésirable ». La même mise à l’écart vient également de se produire en Turquie : le maire d’Istanbul est en prison.
Et, aujourd’hui, Madame Bénédicte de Perthuis de Laillevault, juge au tribunal correctionnel de Paris, anticipe le processus initié par von der Leyen et Breton : pourquoi attendre le moment d’une élection pour agir ? En l’absence de guillotine, il est plus simple, plus rapide et plus efficace de rendre l’opposant inéligible pendant 5 ans et de lui coller quelques années de prison.
J’aimerais avoir les photos de tous ces braves gens pour les afficher en bonne place sur mon Mur des cons !

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