Oui, nous avons un problème avec l’islam !
Il y a 10 ans M. Hollande nous a appris que nous étions en guerre ; contre le terrorisme – ce qui ne veut rien dire car le terrorisme n’est qu’un moyen d’action aux mains de terroristes que le président se gardait bien de désigner. Beaucoup de Français connaissaient déjà leur identité. Mais ce ne pouvait être dit, encore moins faire l’objet d’un débat public. Il ne fallait pas stigmatiser une partie de la population dont, par postulat, le patriotisme, le civisme ou, au minimum, le désir d’intégration ne pouvaient être mis en doute sous peine d’accusation de xénophobie et de racisme. La gauche « big brother », pas gênée par la droite molle, surveillait. Les tribunaux n’étaient pas loin.
Puis, tout de même, comme, au fil du temps, l’abondance des faits délictueux et criminels de toute nature, y compris attentats meurtriers et émeutes, orientait irrésistiblement les regards vers les dits « quartiers populaires » et une certaine population, on a osé dire que les exactions étaient le fait d’islamistes, porteurs d’un islam politique ; comme s’il y avait un islam qui ne l’était pas.
Pour nous rassurer, on nous a dit qu’ils étaient très minoritaires, qu’il ne fallait surtout pas les confondre avec la masse musulmane pacifique qui ne cherche qu’à s’intégrer ; ceci rajouté prudemment « entre deux virgules » par tous les commentateurs, ceux de droite compris, pour ne pas attirer l’attention des juges et de l’ARCOM. D’ailleurs, ils dévoyaient l’islam, le seul authentique, qui est, comme chacun devrait savoir, une religion compatible avec la république. Nos politiques étaient tous à peu près d’accord là-dessus, même Mme Le Pen. Pourtant, il suffit de lire 4 pages du Coran pour se convaincre qu’il n’en est rien. La vraie lecture du Coran est faite par les islamistes. Vous voulez voir ce qu’est l’application exemplaire de la charia ? Voyez l’Afghanistan.
Le « duo de choc » Retailleau- Darmanin, qui, pour une fois, nous donne l’image d’un couple police-justice tirant dans le même sens, parle d’insécurité et beaucoup d’immigration. Mais d’actions visibles toujours pas ; pas même celles, pour tarir le flot de l’immigration ou forcer le départ des OQTF, qui viennent aisément à l’esprit et ne nécessitent nullement un vote du parlement : arrêt de l’octroi de visas, sanctions financières, blocage des transferts de fonds etc. On peut dénoncer les accords franco-algériens de 1968 ; on ne le fait pas. Rien n’entrave encore le flot de nouveaux arrivants. On parle beaucoup, sans aller au fond des choses – comme d’habitude. Un esprit médisant pourrait même noter une certaine marche arrière dans l’expression puisque, par exemple, on nous parle beaucoup du narcotrafic, comme hier on nous parlait du terrorisme. Mais qui sont les trafiquants ? Les mêmes ! Qui sème le désordre et l’indiscipline dans les écoles ? Les mêmes. On se désole de l’insécurité qui grandit partout, dans la rue, les hôpitaux, les églises, et même les prisons. Quels en sont les acteurs ? Les mêmes – qui, dans les actes les plus graves, ont élevé le coup de couteau au rang des beaux-arts.
Je sais que toute société comporte son lot de marginaux, voleurs, violeurs, agresseurs, petits ou grands bandits, meurtriers. Mais cette minorité, chez nous, devient envahissante au point de saturer les services de police et de justice, par ailleurs ligotés par des codes d’une complexité folle et parfois sabordés par des juges d’une bienveillance invraisemblable. Ce qui fait que des individus condamnés des dizaines de fois n’ont jamais mis un pied en prison. Les contrevenants sont de plus en plus jeunes et, en général, on en tait le nom quand ils sont identifiés – de peur bien sûr que les patronymes orientent immédiatement les soupçons. En ne précisant pas davantage, on englobe tous les jeunes Français dans la réprobation, on les « stigmatise » pour le coup. Eh bien non ! Il ne s’agit pas de tous les jeunes Français, mais de « certains » jeunes, majoritairement étrangers ou issus de la fraiche immigration (qu’ils soient Français ou non), et musulmans dans la très grande majorité des cas. Tous les attentats meurtriers leur sont imputables.
Un jour, il faudra bien se poser la seule vraie question qui vaille et y répondre : quel est le dénominateur commun de la majorité des individus dont les comportements pourrissent notre société ? C’est l’islam.
Aucune autre collectivité ne fait autant parler d’elle en mal.
Mes détracteurs déploreront que, ce disant, je condamne toute une population qui, pour une part, est française. Je précise donc que je mets à part tous ceux, nombreux mais minoritaires tout de même, qui, sans attendre un aggiornamento de l’islam qui n’est pas pour demain, renoncent d’eux-mêmes au volet temporel de leur foi, et acceptent notre société telle qu’elle est. J’ai de l’estime, et même de l’admiration, pour tous ceux-là, dont certains, éminents, qui n’hésitent pas à afficher publiquement leur attachement à la France, avec les risques que cela comporte pour eux. Il n’en demeure pas moins que, globalement, le reste de cette population, pour être parfois française et pacifique, ne se désolidarise jamais des exactions des soi-disant égarés, que ses jeunes, même de deuxième ou troisième génération, considèrent majoritairement que la charia est supérieure aux lois de la république et que la laïcité est discriminatoire. C’est chez elle que se recrutent les bandits et les tueurs. Trop sont Français de papier mais anti-français de cœur. Souvenons-nous des scènes de liesse qui, dans certaines de nos écoles, ont salué les pires turpitudes des « frères ».
Et d’ailleurs, les majorités silencieuses n’ont aucune importance. Elles finissent par suivre la minorité agissante qui fait l’événement, par adhésion, peur ou indifférence. En Allemagne, en 1933, tous les Allemands n’étaient pas nazis ; ils le sont devenus. En 1917, tous les Russes n’étaient pas communistes, ils le sont devenus. En Chine, même chose. Ils ont alors tous endossé la responsabilité des crimes innombrables commis par la nation qu’ils avaient contribué à former par leur complaisance. C’est toujours comme ça. C’est pourquoi je trouve stériles et bien optimistes les commentaires de ceux qui cherchent à nous faire admettre qu’il ne faut pas faire de rapprochement entre la minorité d’excités et la collectivité d’où ils sont issus, qui ne poserait globalement pas de problème. Il faut trouver la clé pour faire le tri entre ceux qui acceptent de nous rejoindre et ceux qui veulent nous changer ; car deux civilisations s’opposent là. On échappe difficilement à la pensée dominante de sa collectivité ; même si on en déplore parfois les excès. Voyez la population de Gaza dont on nous a tant dit qu’il ne fallait pas la confondre avec le Hamas. On la voit pourtant congratulant les terroristes du Hamas lors de ces pitoyables et révoltantes cérémonies de libération des otages juifs.
Il faut cesser de considérer la diaspora musulmane en Europe comme un corps homogène sain avec seulement quelques verrues islamistes dont on peut le débarrasser. Une grande part est malheureusement inassimilable ne serait-ce qu’en raison du nombre. On peut assimiler des individus, pas des peuples.
Nos politiques doivent accepter ce fait, trouver les voies et moyens rigoureux pour aider, et surtout protéger, ceux, courageux, qui nous rejoignent sans arrière-pensée ; et inciter les autres à partir. Nul n’est obligé de rester en France contre son gré.
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