Ouverture des JO : la France insultée par Macron

Ouverture des JO : la France insultée par Macron

J’avais beau m’attendre au pire en termes de beauté et d’illustration de la grandeur française, j’avoue que la cérémonie d’ouverture des jeux olympiques a réussi à me surprendre.
Il est vrai que, sous l’autorité d’un chef d’État qui a osé affirmer qu’il n’existait pas de culture française, on voit mal comment il aurait pu en être autrement.
En tout cas, ce déferlement de wokisme, de mauvais goût, et d’anti-France restera dans les annales comme la reconnaissance officielle de l’effondrement français.
Il faut le dire de la façon la plus nette : cela a été fait, sous l’autorité de la France officielle, prétendant agir au nom de la France et des Français, mais cela n’était pas la France.
Passons rapidement sur le caractère navrant de faire chanter Aya Nakamura en vedette. On me dit que c’est la chanteuse la plus connue à l’étranger. C’est bien possible, mais cela ne peut signifier rien d’autre que ceci : la musique commerciale de cette personne se vend mieux que d’autres à l’étranger. Cela ne saurait, en aucune manière, signifier que la musique d’Aya Nakamura est française (j’ai essayé d’écouter : je confesse que c’est au-dessus de mes forces, la musique est du niveau d’une musique de supermarché, et les paroles sont inintelligibles), ni, moins encore, qu’elle est le sommet de l’art musical français.
Évidemment, contraindre les chœurs de la Garde républicaine à se trémousser sur cette musique ne pouvait avoir qu’un but : humilier l’armée française.
Mais le pire est ailleurs.
Tout d’abord, qui peut imaginer que la décapitation de Marie-Antoinette soit une page particulièrement honorable de notre histoire ? M. Macron et les siens continuent à être des fauteurs de guerre civile : loin d’essayer de panser les plaies de notre histoire tourmentée, ils les ravivent. Et, après cela, ils osent larmoyer sur la violence qui s’empare de notre société ?
Le spectacle faisait aussi la promotion du « trouple » : croit-on que, dans un pays de vieille culture, une bibliothèque soit principalement un lieu pour les ébats de deux hommes et une femme ? Certains prétendent que M. Macron aime les livres ; curieuse façon de le montrer !
Ce n’est pas d’abord une question de morale, mais de bon goût – qui, avec le bon sens, semble être l’une des carences les plus cruelles au sein de la caste jacassante (car France Télévisions ou « Le Monde » se sont extasiés devant ces « performances » – avant de s’apercevoir, trop tard, que tout le monde n’était pas aussi dégénéré qu’eux et que de nombreux médias étrangers étaient fort critiques).
Jacques Attali s’est félicité de ces « transgressions », espérant qu’elles seraient « normales » dans dix ans, selon l’usuel schéma « progressiste ». Cela a du moins le mérite d’expliquer pourquoi la Macronie a ainsi délibérément insulté la France – et tous ceux qui ont regardé cette cérémonie, à travers le monde. Mais cela explique surtout pourquoi il est urgent de tirer la chasse sur cette caste crapoteuse !
Il ne manquait plus que le sacrilège (comme toujours remarquablement « courageux » puisque l’on n’insulte que la foi des chrétiens). Nous y eûmes également droit avec une parodie de la Cène de Léonard de Vinci où les Apôtres étaient joués par des drag-queens.
Faux courage transgressif, vrai mépris pour notre civilisation – et pour nos invités. Voilà un admirable résumé du désastreux gouvernement d’Emmanuel Macron. Vite, tournons la page !

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Comments (1)

  • Laure Tograf Répondre

    Vous oubliez de dire que les clowns musiciens de la “garde républicaine” avaient l’air ravis comme des crétins de se prêter aux singeries de Kakabouda et que leur chef s’est même fendu d’une approbation verbale enthousiaste. Attendons la suite avec un défilé de gendarmes chez Michou, le pantalon sur les chaussures et des flics invités à jouer – comme Zélinsky – du piano a queue. Et ça voudrait être respecté ? Pas étonnant que la racaille les méprise tous : ils n’ont aucun honneur et courent à la gamelle et aux promotions à n’importe quelles conditions. Il y a encore peu, des flics déposaient leurs menottes à terre devant les injonctions de leur ministre gaucho-woke de l’époque : auraient ils peur d’être révoqués maintenant.
    A publier : il est grand temps de cesser de fermer sa gueule, sinon : disparaissez.

    31 juillet 2024 à 0 h 28 min

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