Ouvrage : Éoliennes, La face noire de la transition écologique de Fabien Bouglé
L’une des conséquences les plus pénibles de l’écologie politique tient à la prolifération des éoliennes. Ces modernes moulins à vent, au fonctionnement intermittent – et donc fort peu utiles énergétiquement –, enlaidissent gravement les paysages de notre beau pays. Mais ce n’est pas, tant s’en faut, le seul problème que posent ces éoliennes. Dans un livre à charge, admirablement documenté, Fabien Bouglé, juriste engagé dans la lutte contre la construction d’éoliennes partout en France, met aussi en évidence les problèmes financiers graves que pose cette construction.
Surcoût pour le contribuable et pour le consommateur et blanchiment d’argent de la mafia, il n’est pas bien joli, le «business» du vent!
Comments (7)
Tout ce qui est excessif est insignifiant.
Ce livre en témoigne jusqu’à la caricature.
Les frustés se défoulent et se perdent dans la médiocrité.
En effet, ce livre est un ramassis de théories complotistes pseudo-scientifiques qui partent a l’extreme, Bouglé essaie juste de faire dans le scandale pour que les anti eoliens de bas étage achetent son livre…
Tous ses propos sont contredis par des études scientifiques, c est désesperant de lire autant de bêtises.
Si l’implantation des inutiles éoliennes en France dénature le paysage de nos campagnes, sans présenter un réel avantage énergétique, elle n’en permet pas moins aux péquenots de se faire des bons revenus payés par le contribuable grâce aux “loyers” qu’ils reçoivent pour chacune de ces bouses dans leurs terres. Ensuite, ils viendront pleurer à la TV sur leur revenus insuffisants : pourtant, pour palper sur éoliennes, ils ne se font pas des ampoules dans les mains. Un de mes anciens m’a raconté comment cela se passait durant l’occupation dans les campagnes avec les bouseux qui profitaient sans vergogne de la famine des villes avec leur marché noir. Rappelez vous, certains tétaient appelés les B.O.F. Pour beurre , oeufs, fromagne, vendus au prix de l’or. Maintenant, ils palpent pour du vent.
Très beau commentaire extrêmement constructif !
Les pequenots comme vous les appelez, vous permettent accessoirement de vous nourrir, et n ont jamais demandés à voir ces grandes éoliennes pousser dans leurs champs ! Les dossiers d implantation sont portés et montés par des entreprises privées auprès des municipalités et préfectures, qui ensuite sollicitent les pequenots. Et non pas l inverse!!
Merci de remettre les choses dans l ordre!! Et ne pas les inverser
SPEL 28 . Cela ne les empêche pas de passer à la caisse avec l’implantation des éoliennes, a nos frais.
Et je maintiens que durant l’occupation, les “péquenots”, ne se gênaient pas pour profiter de la difficulté des citadins, ne vous en déplaise. Nous avons avons pratiquement tous des ancêtres “péquenots” et j’en ai aussi, mais je n’ai pas à masquer leur double langage. Quant a présenter leur travail comme un quasi sacertoce “pour me nourrir” comme vous dites, il vous faudrait sur ce point aussi remettre les choses en place: même si, maintenant, certains ont des difficultés (ce qui est très loin d’être le cas des grandes exploitations, notamment céréalières) ils ne le font pas par bonté d’âme. Pas plus qu’un ouvrier lambda ou un ouvrier maçon ne va travailler pour son plaisir. La pleurniche, il faut l’oublier.
Et j’ajoute que, bientôt, pour nous “nourrir”, il y aura bientôt plus que des produits d’outre atlantique – dommage – Mais vos amis continueront de passer à la caisse des éoliennes, imposées ou non.
Péquenot ? Vous parlez des agriculteurs ?
Sachez qu’il existe aussi des agriculteurs qui refusent les éoliennes. Et que la très grande majorité des agriculteurs ne peut pas avoir d’éolienne.
Du coup les problèmes de revenu insuffisant ne sont pas du tout réglés par les éoliennes pour la très très grande majorité d’entre eux.
Sachez aussi que les agriculteurs ne perçoivent la totalité du loyer que s’ils sont propriétaires. Sinon ils ne touchent que la moitié (et la moitié du loyer pour une seule éolienne, c’est pas non plus avec ça que le revenu agricole va grimper). Les propriétaires touchent l’autre moitié, et les propriétaires sont loin d’être tous des agriculteurs.
Pauvre de vous, qui prenez l’insulte pour une argumentation.