Pas d’état de grâce pour Trump

Pas d’état de grâce pour Trump

Trump est au milieu des cent premiers jours qui sont censés être une période de grâce pour tout président. Rien de tel pour lui, bien sûr. A l’intérieur, la gauche battue et sans chef crédible pour le moment ne démord pas de ses convictions : le Gouverneur-bouffon Tim Walz assure même que la défaite vient de ce que l’Administration Biden n’aurait pas assez forcé sur l’agenda woke. Le sénateur Chuck Schumer, bien que considéré « mou » par la base, a dévoilé très tôt la stratégie des « démocrates » pour saper tout soutien à Trump et qui tient en un mot : obstruction.

Cela « sur tous les sujets, sans relâche et aussi longtemps que nécessaire ».

L’obstruction, c’est d’abord la poursuite du militarisme judiciaire (lawfare) déjà vu contre Trump. Obstruction judiciaire systématique à tous ses décrets présidentiels (tous conformes au vote de 77% du peuple). Des juges de district s’arrogent le droit (inexistant dans la Constitution) de paralyser ces décrets dans les 50 Etats par des « injonctions fédérales », environ 100 en cours contre Trump et 70 contre Musk et le DOGE. Ces petits juges agissent donc en « hors la loi » et la Cour suprême devrait les empêcher de nuire, voire les punir, mais le président de la plus haute cour, le notoire Juge Roberts, n’est pas un originaliste (respectueux des textes originels) : il s’est avéré juge très politique. Et il hait Trump.

Trump n’a donc d’autre choix que de passer outre.

Obstruction aussi par un barrage constant de fausses informations et vrais canulars. On en eut un exemple chez nous le 17 mars avec un « expert » de LCI diffusant, avec une joie mauvaise non contenue, que le ministre des Services secrets Tulsi Gabbard avait « évoqué la longue amitié entre Trump et Poutine ». C’était l’Associated Press qui le disait, donc parole d’évangile. Or, l’AP (bannie du service de presse à la Maison Blanche pour wokisme et autres carences professionnelles) reconnut deux jours plus tard son « erreur » : il s’agissait de l’Indien Modi. LCI ne prit pas la peine de rectifier, encore moins de s’excuser. Barrage soutenu puisqu’un autre exemple surgit dès le 24 mars : l’incroyable battage fait autour de ce que la gauche appela aussitôt Signalgate. Beaucoup de bruit pour rien mais ce faux scandale soulève une véritable question : par quel intermédiaire (au sein de l’Etat profond ?) un intrus particulièrement hostile comme l’éditeur en chef de l’ultra-gauchiste « The Atlantic » a-t-il pu avoir accès à une conversation privée entre des membres de la Sécurité Nationale sur l’application Signal ? C’est ce que l’enquête révélera, l’essentiel (malhonnêtement tu par tous les médias) étant que l’opération militaire dont il était question (en termes généraux) a parfaitement réussi : les Houthis (qui paralysent le Canal de Suez depuis des années) anéantis, sans aucune victime du côté américain, et le canal libéré, ce qui profite aux Egyptiens et aux navires européens (40% du trafic) bien plus qu’aux Américains (3% du trafic). Merci, président Trump !

Notons que les critiques enragées venaient de gens qui n’avaient rien trouvé à redire depuis le scandale sanglant de Benghazi en 2012 (Barack Obama et Hillary Clinton auraient dû être destitués) jusqu’à la débâcle également sanglante d’Afghanistan en 2021, après laquelle Biden ne licencia personne.

La gauche vicieuse et folle n’a pas le sens des proportions et est passée maîtresse dans l’art de feindre l’indignation, moyen de masquer ses agissements glauques et ses politiques délictuelles.

L’obstruction, c’est enfin l’orchestration financée des actes de violences qui éclatent parfois simultanément contre les biens et les personnes, comme on voit actuellement contre Musk par Tesla interposée : voitures, concessions, vendeurs ou propriétaires, personne n’est à l’abri de la haine aveugle des idiots utiles manipulés les milliardaires rouges qui ont un pacte avec l’Etat profond et le parti démocrate depuis Clinton. Soros n’est que le plus connu des financiers de l’ultra-gauche et sûrement le plus puissant puisque ses tentacules sont partout dans le monde et particulièrement dans notre sinistre Union européenne. On espère bien sûr qu’Elon Musk et son DOGE finiront par faire tomber ces milliardaires néfastes, comme on espère qu’ils vont réussir leur pari de couper 2 trillions de dollars sur les 6 trillions du Budget 2025 signé par Biden.

Qu’est-ce qui provoque donc tant de rage, partagée – il faut bien le constater – par une majorité d’Européens ?

Pressé de réaliser ses promesses électorales avant les élections de 2026, Trump traite toutes les questions en même temps ce qui décoiffe les « élites » transnationales et bouscule leurs sujets habitués au statu quo, dont ils peuvent se lamenter à condition de ne pas le perturber. Or Trump donne des exemples de destruction positive chez lui ! Il a aboli le boulet qu’était le ministère de l’Education (3 trillions de dollars dépensés en 45 ans pour des résultats déplorables) et déjà coupé dans le budget et le personnel d’autres agences gouvernementales dont la Santé. L’équipe de DOGE (parfaitement légitime) formée de gens impressionnants par leurs talents et qui ont tous laissé de côté leurs occupations très lucratives par patriotisme, fait des découvertes saisissantes sur le gaspillage, les vols et fraudes d’envergure tolérés jusqu’ici. Leur motivation : sauver l’Amérique de la faillite à laquelle elle court car, « sans l’Amérique, c’est tout l’Occident qui sombre et il n’y a plus nulle part où aller », rappelle Musk chez Bret Baier (Interview 27/28 mars sur Fox News).

A l’extérieur, l’indulgence de Trump pour Poutine (dont il devrait se méfier car il n’y a rien de bon à en espérer) est tout de même limitée puisqu’il veut mettre le Groenland « à l’abri de la Russie et de la Chine », ce qui est une excellente chose et vaut pour notre sécurité à tous.

Ses droits de douane « réciproques » ne sont que justice et pourtant les milieux libéraux, prisonniers de leur carcan doctrinal, se joignent au choeur des pleureuses.

Enfin, dans sa démarche de dé-wokisation de l’Occident, Trump vient d’interdire aux entreprises françaises liées par contrat aux Etats-Unis de poursuivre les directives DEI illégales imposées par son prédécesseur et par les dirigeants européens.

Bref, en finir avec la Guerre culturelle qui nous détruit. Mais avant que les cerveaux poussifs ne suivent…

La guerre culturelle

 

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