Police
Vu l’état de notre France, pourquoi traîner en justice et parfois incarcérer un policier ayant fait usage de son arme ?
Ne peut-on juridiquement assimiler maintenant la police à l’armée ?
Met-on en prison le soldat qui a tué des ennemis, et peut-être occasionné des dommages collatéraux ? Non, on le décore.
Mettons-nous à la place du policier, de nuit, peut-être ébloui par des phares, face à un véhicule dont le conducteur refuse d’obtempérer. Il doit parfois tirer pour sauver sa vie ; Mais, plus encore, c’est souvent son devoir de tirer, évitant ainsi de laisser circuler ce danger ambulant.
Bien sûr, comme dans toute guerre, il y aura des bavures, des balles perdues. Mais l’on doit considérer nos policiers comme soldats confrontés à un adversaire.
La gauche hurlera : La police tue ! Il lui sera répondu : Cela fait partie de son métier. Qui obtempère ou se rend n’est ni tué ni blessé.
Philippe C.
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