La culture de l’excuse
La gauche – qui se pare si volontiers des atours de la justice – a vraiment « l’art » du « deux poids, deux mesures ».
Ainsi entend-on fréquemment les féministes critiquer le « patriarcat », mais à la condition que cela ne vise que des « mâles blancs » – y compris quand ces derniers se contentent de tenir la porte à une femme, la galanterie et la courtoisie étant censées être devenues des signes d’oppression.
Les immigrés ou les idéologies les plus éloignées de la tradition européenne peuvent, quant à eux, tout se permettre avec les femmes. Personne ne leur en fera grief.
C’est ainsi que la très gauchiste Caroline De Haas avait affirmé que le harcèlement de rue que subissaient trop de femmes Porte de la Chapelle à Paris disparaîtrait si l’on élargissait les trottoirs.
Il allait manifestement de soi, pour elle, que les nombreux immigrés clandestins qui se tenaient là, désœuvrés, ne sauraient être responsables de la moindre exaction.
Tout récemment, nous avons pu constater que l’assassinat du P.
Olivier Maire n’intéressait guère les médias bien-pensants.
Il ne faudrait tout de même pas donner de grain à moudre aux « populistes » !
Mais, si l’on en reste aux violences contre les femmes, une autre affaire est révélatrice.
Sur le réseau social Instagram (propriété du très politiquement correct – et très ferme soutien des criminels de Black Lives Matter – Facebook), un individu signant du pseudonyme « blackingbbc » a osé cette déclaration ahurissante : « C’est pas un viol si elle est blanche. » (en français et en anglais pour ceux qui auraient du mal à comprendre).
Le tout assorti d’une image non équivoque d’un homme noir dominant et même écrasant une femme blanche.
Cette déclaration a déclenché … un silence assourdissant.
Seul le collectif Némésis de jeunes filles patriotes, ayant le courage de lier la hausse des viols à celle de l’immigration, à la fureur des féministes « canal historique », a dénoncé cette monstruosité.
La gauche continue à diffuser cette vision marxiste de la justice de classe : un noir ne peut pas être raciste, un immigré ne peut pas être criminel, un prolétaire ne peut pas être un assassin.
Tout le monde sait que c’est faux, et même idiot. Pourtant, cette idéologie continue à sévir, non pas seulement dans les cercles d’intellectuels archéo-marxistes, mais bel et bien dans nos tribunaux – et, plus encore, dans les médias largement dominés par la contre-culture soixante-huitarde.
Et, faute de changement en ce domaine, notre pauvre France s’enfonce dans le chaos.
Comments (4)
les Français ont l’ Excuse … parfaite, une et indivisible, imparable quoi ( comme au tarot ) : c’ est toujours la faute à ” autrui ” à quelqu’ un d’ autre: les Allemands, l’ arbitre, la malchance ( ce qui est moins défini mais plus global ) etc … mais jamais à eux-mêmes tant ils sont parfaits !
La victime a-t’elle droit à des excuses?
Sûrement pas, une marche blanche avec tous les faux-jetons de “gôche” *) du coin suffira amplement pour donner le change.
Après, on aura tout le temps de discerter sur le passé douloureux du meurtrier et de lui présenter des excuses pour l’avoir inutilement accablé.
Circulez braves gens il n’y a rien à voir!
*) un pléonasme, un “gôchiste” étant presque toujours un faux-jeton.
Laurent Jacobelli en très gros progrès ce matin sur L.C.I. calme, pas inutilement agressif , exposant clairement un cursus politique réaliste … ça nous change des ” bas du front ” d’ antan … espérons que M. Le P. ne détruira pas cela sur un coup de tête et des ricanements bêtes
Et qui vous dit que la “femme blanche” représentée sous le corps d’un robuste noir n’était pas une adepte de la “poutre de Bamako” ? N’oubliez pas que certaines adorent cela, ce qui permet à l’opérateur de se vanter.
Surveillez vos femmes si vous ne voulez pas qu’elles vous préfèrent des hommes plus ardents.
Ou, dans l’intimité – mais seulement là, sinon gare au procès pour plagiat – grimez vous en blackface pour faire plaisir à bobonne.