Pour une transition capitalistique

Pour une transition capitalistique

L

e nombre de cambriolages explose partout. Depuis Proudhon, philosophe an­archiste aujourd’hui remis à l’honneur par l’extrême gauche, la propriété serait « du vol ». Cette idée irrigue également une vision marxiste qui tend à tout fonctionnariser, et notamment à s’emparer des outils de production. Avant 1968, les citoyens avaient non seulement le droit, mais aussi le devoir de protéger les biens de leur entreprise comme de leur patrimoine.

Aujourd’hui, la justice politisée, portée par le syndicat de la magistrature, contraint les citoyens à se soumettre à leurs agresseurs. Sur internet, chacun découvre les comportements à adopter en cas d’agression ou de « home-jacking ». Mais ce n’est pas tout : la ligue des droits de l’homme (LDH) ou la Cour de Justice européenne (CJUE), veillent scrupuleusement à la défense des malfaiteurs. Il apparaît que la vie, voire simplement l’intégrité physique d’un voleur, a désormais plus de valeur que 88 millions d’euros, et à plus forte raison que tout objet historique, qu’il soit monarchique ou religieux.

L’usage des armes à feu est lourdement condamné et sanctionné, y compris pour la police ; celle-ci doit intervenir en douceur et en nombre pour limiter les risques lors des arrestations. Elle est parfois tenue pour responsable des accidents survenus aux délinquants en fuite. Dans ces conditions, des policiers peuvent être exposés à des bandes violentes équipées de fusées d’artifice : il ne reste plus aux honnêtes citoyens qu’à se barricader chez eux, dans leur commerce ou même au commissariat. À noter que la peine de mort, en pratique, ne touche que ceux qui respectent la loi.

Si la violence subie par les citoyens honnêtes est traumatisante, les recettes issues des vols demeurent dérisoires comparées aux centaines de milliards d’euros légitimement prélevés par nos socialistes, de droite comme de gauche, sous forme d’impôts et de taxes depuis 1981. Ainsi, l’État est devenu le premier des voleurs, car les services publics servent bien plus les fonctionnaires qu’ils emploient que les citoyens eux-mêmes.

Il est donc impératif de mieux répartir les bénéfices des entreprises créatrices de richesse. L’intelligence artificielle ne doit plus être vue uniquement comme une bulle capitalistique, mais comme une force d’enrichissement général permettant d’augmenter la productivité dans tous les secteurs. Ce progrès ne pourra advenir que par l’union des droites libérales et judéo-chrétiennes, du mouvement Reconquête au Rassemblement National, qui n’a jamais participé à l’échec accumulé par les gouvernements successifs.Cette union électorale créerait une dynamique nouvelle, favorable à ses composantes. Le déclin de la France ne saurait se poursuivre, d’autant que s’ajoute aujourd’hui la taxation des héritages, qui attaque l’esprit de famille et qu’on appelle parfois « l’impôt sur la mort ».

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