Rétrospective 2024 et perspectives 2025

Rétrospective 2024 et perspectives 2025

L’année 2024 fut sauvée de la grise et morose banalité des affaires du monde essentiellement par l’élection de Donald Trump et, avant cela, par son chemin de croix vers la victoire. Au plus bas en début d’année, accablé de procès sans causes, portraituré comme le nouvel Hitler par ses opposants à court d’arguments, odieusement moqué par les médias ignorants, on le vit amorcer un parcours sans faute dans les primaires, puis s’imposer au cours de l’été par son courage, sa ténacité et son patriotisme pour réussir le retour politique le plus extraordinaire de tous les temps. Par cette élection, l’Amérique a voté contre les idées et concepts socialo-wokistes de la gauche néo-marxiste : halte aux insanités écologistes inutiles et ruineuses au profit de l’indépendance énergétique à retrouver, aux délires transgenristes à bannir des écoles et des compagnies, à la folie identitaire sans fin. Retour au bon sens, à la décence et à la normalité.

A l’extérieur, un espoir de rétablissement de la paix mondiale par une politique ni isolationniste ni interventionniste mais fondée sur le pragmatisme et l’indispensable force de dissuasion américaine par la puissance économique et militaire restaurée. On ose espérer que 2025 soit enfin l’année de la chute de la République Islamique d’Iran et le début d’une diminution des pouvoirs insensés des organisations internationales nuisibles, à commencer par une ONU dévoyée.

Nous devrions tous en bénéficier, ne serait-ce que par ricochet.

Du reste, dans toute la gauche occidentale, les adversaires de Trump sont sur le qui-vive.

L’Union européenne dictatoriale et censoriale qui se sait pareillement désavouée observe un silence prudent. Dans toutes les nations, les populations supportent de moins en moins ses diktats en matière d’immigration, d’écologisme fanatique et de réponses ineptes à la criminalité violente.

Au Canada, l’impopulaire Trudeau pourrait bien perdre son poste plus rapidement que prévu. L’également impopulaire Keir Starmer aussi, bien qu’il ait théoriquement un mandat de plusieurs années devant lui. Ce faux modéré mais vrai trotskiste avait bien trompé l’électorat qui put voir en quelques semaines de quoi il était capable contre son propre peuple, libérant des prisonniers pour mettre à leur place des dissidents politiques (et pas seulement Tommy Robinson), entre autres ignominies, et redoublant dans toutes les causes wokistes.

En France, morne plaine socialiste, l’année n’a été sauvée que par la réouverture de Notre-Dame. Nous n’oublions pas la théorie fallacieuse du mégot ni l’enquête interdite, et tout dans la rénovation (mobilier, vêtements sacerdotaux …) peut ne pas plaire mais l’essentiel nous a été restitué : alors que nous avions cru les perdre, le ciel de Paris a retrouvé la flèche de la cathédrale et sa toiture. Et puis, les maniaques du ménage (comme l’auteur de ces lignes) apprécient la propreté éblouissante à l’intérieur : pas un recoin à poussière, pas une impureté, tout n’est que sérénité et, que les détracteurs l’admettent ou non, cela aussi contribue au spirituel.

L’élection de Trump est prometteuse aussi par ce que son équipe gouvernementale s’engage à réaliser : le DOGE, ministère de l’économie créé ad hoc, compte bien tailler pour 2 trillions de dollars de dépenses malhonnêtes prévues avec l’argent durement gagné des contribuables. Quel exemple terrifiant pour Ursula von der Leyen, Macron et Bayrou !

Pour sa part, Elon Musk a laissé entendre qu’il pourrait favoriser Farage en donnant 100 millions de dollars de ses propres deniers au parti Reform UK de Farage qui vient de dépasser les conservateurs (mous et justement discrédités) en nombre d’adhérents enregistrés et à jour de cotisation. Cela pour résister au « blob » qui trahit et détruit tous les jours, sans interruption depuis 1997, la nation britannique. Considérant l’Europe toujours soumise au prétentieux (et en quasi-faillite) super-Etat fédéral, Musk étendrait volontiers ses largesses à tout peuple peinant à se libérer. Ainsi, il a repéré l’AfD comme parti allemand méritant, ce qui est rafraichissant au milieu des accusations absurdes d’extrême droite (par l’extrême gauche européenne) pour un parti qui est simplement de droite. Alors qu’on le sait aussi au mieux avec l’Italie, Musk n’a pas encore mentionné la France, sans doute parce qu’il n’y voit que des partis de gauche.

Trump sera le premier président américain à avoir droit à une deuxième visite d’état royale en Grande-Bretagne, peut-être dès 2025, souhaitée par Buckingham dans le cadre de la « Relation Spéciale » mise à mal par les travaillistes.

D’ici là, la gauche américaine va tout tenter pour plomber la présidence salvatrice de Trump : jugé inapte à la présidence par ses pairs mais autorisé en tant que « canard boîteux » à terminer son ignoble mandat, Biden se livre aux vilénies les plus basses dans le but de rendre les intérêts du marécage « à l’épreuve de Trump » (la gauche a même créé un mot, verbe et adjectif, Trumproof !). Pêle-mêle, Biden-le-Corrompu nomme des fonctionnaires à vie à des postes aux salaires à 6 chiffres pour entraver les mesures d’économie et d’épuration, il brade honteusement les matériaux payés mais restés en attente pour le « Mur », il gracie 37 criminels condamnés à mort (pour complaire au Pape et à la stupide UE) et des milliers de fonctionnaires corrompus et qui ont menti sous serment ou trahi la nation….Tout cela, en fait, devrait être remis en question puisque ce président nominal n’est que le pantin d’acteurs de l’ombre non élus, donc illégitimes, et dont les ordres devraient être déclarés nuls. Certes, le Congrès est encore largement peuplé de RINOs mais il devrait logiquement travailler à la révélation des délits commis et à la réussite du programme politique approuvé par le pays.

En ce début d’année, nous faisons le vœu que Trump et son cabinet se sortent de tous les pièges et nous nous réjouissons de la perspective de 4 années, idéalement 12, de politique-spectacle passionnante.

La guerre culturelle

 

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