Sécurité
Une inquiétude commence à poindre dans l’entreprise. Pendant des années, les DRH ont répondu aux directives des gouvernements socialistes. Toujours plus d’externalisation des comptabilités et sous-traitance du savoir-faire en livrant son programme à l’étranger. Toujours plus d’embauche d’employés issus de l’étranger, au nom de la culture de la diversité. Résultat : aujourd’hui, l’entreprise se trouve piégée. Elle ne peut renvoyer son personnel étranger, qualifié par elle-même, ni imposer une clause de citoyenneté, comme c’est le cas pour la défense nationale. Belle insouciance, en un temps où les amis deviennent des ennemis et les clients partenaires deviennent des concurrents, dans un marché où la mondialisation impose un déséquilibre des charges et normes en défaveur du pays.
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