Socialisme criminogène

Socialisme criminogène

Depuis l’arrivée de François Mitterrand à la tête de la République en 1981 et la purge de l’ORTF qui s’ensuivit, les socialistes gouvernent notre pays, en cours de barbarisation.
L’Éducation nationale, la Justice et quasiment tous les services publics, fonctionnarisés sur le modèle de l’ancienne URSS, sont de gauche, voire d’extrême gauche, comme leurs syndicats (FSU, SNES, syndicat de la magistrature, Sud RAIL, etc.).
Il en est de même des nombreuses associations subventionnées par nos impôts (Ligue des droits de l’homme, etc.).
Nos socialos aiment tant les pauvres qu’ils n’ont cessé de les multiplier, comme évidemment leurs jobs étroitement liés à la pauvreté.
Ils ont rendu la police inefficace en la désarmant de facto. Ils ont contraint les citoyens honnêtes à céder leurs armes à l’État pour privilégier la sécurité des hors-la-loi. Ils ont ouvert tout grand nos frontières aux bons à rien indésirables dans leur propre pays.
Vice versa, les Russes riches se sont vus confisquer leurs avoirs. Ce ne sont pas ces derniers qui conquièrent appartements, puis immeubles, quartiers entiers et régions en déplaçant les populations françaises d’origine européenne soumises à une insécurité répulsive.
Il est temps d’en finir avec l’idée que la pauvreté génère la délinquance, alors que c’est précisément le contraire.
Il est surtout nécessaire d’arrêter de nous tromper d’adversaire en soutenant la guerre déclarée tacitement par les Américains au peuple russe riche en matières premières.
Le réchauffement climatique ne génère pas la température suffisante pour déclencher les multiples incendies. Les incendiaires sont presque toujours des criminels détestant notre civilisation (destruction par le feu de Notre-Dame).
Il faut cesser de les excuser comme étant globalement des malades mentaux ou des personnes négligentes. La seule solution pour combattre l’insécurité tous azimuts et son coût abyssal réside dans la dissuasion par la neutralisation temporaire ou définitive des malfaiteurs. La légitime défense doit inclure pour les policiers celle d’autrui en plus de la leur, notamment dans les refus d’obtempérer. On ne peut pas laisser en liberté totale des criminels pouvant s’avérer dangereux pour l’ensemble de la société.

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