La laïcité en France, c’est agir contre le catholicisme!
Jamais, on n’a autant parlé de laïcité. La France, proclame-t-on, est une nation laïque. Mais il s’agit d’une laïcité particulière qui, en réalité, est essentiellement dirigée contre la religion catholique. La gauche s’en charge. Les autres religions sont tolérées, voire encouragées de mille manières, en premier lieu la religion musulmane.
Avant 1945, cette religion, en France, comptait quelques milliers de fidèles. Elle en compte aujourd’hui des millions, auxquels les pouvoirs publics sont favorables. Sans parler des autres religions qui se développent en toute liberté, précisément depuis que la laïcité est à l’ordre du jour!
C’est une vieille histoire qui a commencé en 1789. Le catholicisme était alors très pratiqué dans la noblesse et dans le peuple. Nul ne l’ignore. Chaque château avait sa chapelle où officiait un prêtre attaché au château. La quasi-totalité du peuple français était catholique. Les églises se comptaient en dizaines de milliers.
Supprimer cet état de choses fut l’un des objectifs prioritaires des révolutionnaires, très minoritaires, mais très violents. Les prêtres réfractaires devinrent des hors-la-loi. Il fallait les arrêter et les tuer. On peut citer parmi les nombreuses atrocités anti-catholiques commises par les nouveaux tenants de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, le massacre des Carmes, un couvent où se trouvaient 150 prêtres réfractaires arrêtés en août 1792. Les révolutionnaires les martyrisèrent à coups de piques fabriquées à la chaîne dans le quartier Saint-Antoine. Quelques ecclésiastiques plus agiles que les autres, escaladèrent le mur donnant dans un jardin voisin, mais ils furent rattrapés et égorgés. Parmi les victimes, l’archevêque d’Arles, l’évêque de Saintes et l’évêque de Beauvais, égorgés au nom des droits de l’homme, dont les champions et exécuteurs obtinrent un bon pour 24 pots de vin «bien mérités»!
Cette révolution qui fit 300 000 morts, beaucoup après tortures et viols, dans une population de 28 millions d’habitants, fut arrêtée par Napoléon et l’empire. Mais la laïcité anti-catholique resta latente et se manifesta par de violentes irruptions tout au long du XIXe siècle. La franc-maçonnerie y veillait. En 1880, les jésuites furent expulsés par décret de leurs écoles. Des milliers d’autres religieux subiront le même sort pour appartenir à des congrégations non autorisées et, le 30 juillet 1904, ce fut la rupture des relations diplomatiques avec la papauté.
Il faut dire que la révolution industrielle, l’exode des campagnes catholiques vers les villes, la création des syndicats par la loi Waldeck-Rousseau en 1883, la politique très anti-catholique des francs-maçons au pouvoir – avec notamment, parmi d’autres, Émile Combes, président du conseil en 1902 –, le cartel des gauches en 1924 qui a fait de l’anticléricalisme son principal et presque unique programme, et, ces dernières années, le rouleau compresseur de la télévision qui produit le meilleur et le pire – en tout cas l’intoxication du plus grand nombre –, tous ces facteurs ont beaucoup contribué à faire de la laïcité un outil dirigé contre le christianisme. (N’oublions pas non plus qu’en 1946, le parti communiste français et stalinien comptait 182 députés pour qui la religion était l’opium du peuple.)
Ainsi finit-on par obtenir le vote de la loi de séparation de l’Église et de l’État du 5 novembre 1905. Cette loi imposa la confiscation des biens du clergé par l’État et les «inventaires» exigés par les pouvoirs publics ont donné lieu à de multiples brutalités. On ne pouvait pas raser les églises, mais on pouvait les profaner et, pour commencer, supprimer les crucifix dans les écoles.
Aujourd’hui, les crimes commis par l’islam ne soulèvent guère d’émotion comme en témoigne l’assassinat du P. Jacques Hamel, égorgé par des musulmans alors qu’il disait la messe dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray. On l’a déjà oublié.
Dans l’État laïc qu’est la France, les islamistes ont tué 258 Français de religion catholique. Ils en ont blessé plus de 1 000. À tout moment, des attentats anti-catholiques peuvent être commis. Nous sommes condamnés à attendre le prochain en gardant le silence.
Dans la «France laïque», d’autres religions se développent aussi. Le bouddhisme notamment. Sans doute le bouddhisme est-il une religion éminemment respectable qui a pour priorité de protéger la vie. C’est une religion de bonté et de respect de l’autre. Mais enfin, c’est aussi une religion tibétaine, qui n’est pas née sur les hauteurs du Morvan, mais sur les pentes de l’Himalaya!
Je ne parlerai pas des religions africaines aux rites étranges comme le vaudou, qui, elles aussi, se développent en raison de l’immigration massive venue en France d’Afrique noire et qui va continuer à s’étendre.
Mais j’insisterai sur l’antisémitisme d’un nouveau genre, l’antisémitisme musulman qui se manifeste fortement et très logiquement parce qu’il est lié à l’islamisation de la France.
Tel est le tableau esquissé de la laïcité en France qui vise avant tout à réduire l’Église catholique. C’est une laïcité politique, engagée par la gauche.
Force est de constater hélas qu’en France, survit et vit bien, et depuis longtemps, une minorité faite de gens violents et souvent cupides qui attendent toute occasion pour tuer, voler et piller au nom de la liberté. Cette minorité, qui a la bénédiction du gouvernement, est parfois carrément au pouvoir. Elle a fait ses preuves. C’est – n’ayons pas peur des mots – la plus bête du monde. Aujourd’hui, son bilan est stupéfiant: 759 milliards d’euros sont dépensés chaque année pour la protection sociale afin d’aboutir à 14% de la population vivant au-dessous du seuil de pauvreté, avec, par-dessus le marché, le chômage le plus élevé parmi les nations occidentales – avec aussi, cerise sur le gâteau, je devrais dire citrouille, un racket fiscal de 1 359,3 milliards d’euros d’impôts directs et indirects par an qui maintient la France dans la pauvreté et le désordre.
Comments (6)
depuis la défaite de Pétain la France n’ est plus ” catholique ” ( enfin comme l’ entend Mr Lambert )
il faut se faire à cette réalité et s’ y ” adapter ” pour avoir au moins l’ espoir de faire renaître la civilisation européenne occidentale
Je suis d’origine polonaise et d’une région minière qui est la Lorraine et je peux dire que ce ne sont pas les maghrébins qui faisaient fonctionner les mines ou les usines où ils étaient largement minoritaires.
Pas si con Monsieur Brenus.
” ils étaient minoritaires ” [ par rapport aux Polonais certainement ] je n’ ai jamais dit qu’ ils étaient nombreux et même le contraire si on se réfère au contexte !
quant à Brenus c’ est un ” con ” , je maintiens !
signé le Doc !
c’ est vrai les Arabes , Berbères et autres arabo-berbères d’ Algérie n’ avaient pas encore la nationalité française et les Kabyles de la guerre 14 / 18 restés en Métropole étaient quelques dizaines de milliers à travailler dans les mines
cher Monsieur Lambert le combat que vous ( pensez ) mener et celui d’ un Charles X , pas même celui d’ un Louis XVIII et c’ est un royaliste légitimiste qui vous le dit
Tiens, qc le pro-muzz se réveille et se croit obligé d’ajouter son couplet à la longue litanie des arabo-berbères. Il ne lui manque plus que d’aller brailler avec son complice juché sur une camionnette dans une rue de Paris – à la grande joie de ses congénères “mineurs de fond” – Allah Akbar.
Ceci dit, Charles X aurait mieux fait de se contenter de ravager régulièrement le nid de pirates et d’esclavagistes qu’était Alger à l’époque et de laisser le reste du territoire continuer à se dépeupler par la misère entretenue, la tuberculose galopante et autres joyeusetés.
Pour les “mines” , les Polonais ont apporté bien autre chose que les maghrébins, sans y ajouter leurs emmerdes et sans les sommes folles dépensées sans retour par la France en l’ “Algérie” qu’elle a créé.
J’attends la suite sous forme d’insulte. As usual.
je m’ en voudrais de vous décevoir Brenus … toujours aussi ” con ” !