Submersion
Un sentiment de submersion migratoire a dit notre Premier ministre. Voilà un terme (« sentiment ») nouvellement employé à tort et à travers. Pour moi, oui, il s’agit de submersion migratoire : ce mot est exact, approprié. Ce n’est pas un sentiment, car comment douter de ce que voient nos yeux ? Pourquoi parler de sentiment, alors qu’il s’agit de faits bien réels, visibles, vécus, ressentis, subits – car, oui, nous subissons l’immigration, 65 % des Français l’ont exprimé. Ni la France, ni l’Europe ne peuvent sauver la terre entière ! On ne peut qu’aider les candidats à l’émigration, humainement parlant, mais chez eux, et sans esprit colonial (cela est du passé). Et puis cessons de vouloir dédouaner nos consciences par une fausse charité, au détriment de nos concitoyens. Appliquons plutôt cette vieille maxime : Aide-toi, le ciel t’aidera.
Georgette Sellier
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