21Fév
Trafic
Trafic Trois Thaïlandaises ont été récemment libérées d’une sorte de « ferme humaine » en Géorgie, où elles étaient détenues par un groupe mafieux chinois. Elles avaient été attirées en Géorgie par la promesse d’un métier rémunérateur, au lieu duquel elles ont été contraintes à absorber des hormones de stimulation ovarienne. Une fois par mois, elles étaient anesthésiées pour que leurs geôliers récupèrent leurs ovocytes qu’ils vendaient ensuite au marché noir. Selon les déclarations des victimes, une centaine de femmes, pour la plupart d’origine thaïlandaise, serait encore retenue dans cet endroit.
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